Wiki Guy de Rambaud
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                    Jean François Saulnier, sieur du Mesnil



Blason saulnier du mesnil

Saunier du Mesnil : D'argent au chevron d'azur accompagné de trois trèfles de sable (1696).

Blason cugnon-0

Les Saulnier de Cugnon portent : d'argent à la fasce de sinople accompagné en chef de trois merlettes rangées en sable, en pointe d'une rose de gueule feuillée de sinople.

Blason Saulnier de Villehaye

Blason Saulnier, sr de la Ville-Haye (ou Kerhars), ress. de Morlaix : De gueules à trois lions d’argent (Arm. 1696).

Jean François Saulnier, sieur du Mesnil, Jean François Saulnier de Cugnon sieur du Mesnil, est né vers 1665 à Villers la Chêvre (Barrois) (arrière-fief appartenant à la famille des Cugnon[1]) et décédé en 1722 à Morlaix[2].


Descendant côté maternel des Cugnon, famille noble des Ardennes, et des Le Saulnier, des Bretons, côté paternel Jean François Saulnier, sieur du Mesnil, est la tige des Saulnier de Cugnon. Il est élevé noblement avec son frère par son oncle Jan Saulnier du Mesnil, mari de Jacquette Turin, veuve de Julien Hurel Des Esar, de Mesnil-Mauger, dans le Calvados, d'où le nom Saulnier du Mesnil. Sa mère, Barbe Cugnon, est la fille de Valentin de Cugnon et d'Anne de Circourt, morts au château de Gommery, en l'année 1636[3].

C'est un influent négociant de Morlaix. Lui et son frère, Théodore Saulnier, sieur de Villehaye, exercent le commerce en gros depuis 1691 jusqu'en 1706. Mais comme son frère, il occupe les premières charges de Morlay, où ils ont toujours vécu noblement[4]. Il est assesseur de Morlaix (1693), Consul en charge (1696 et 1706)[5]. Il est en 1713 Conseiller du Roi, assesseur de la ville de Morlaix et ancien consul.

Jean François Saulnier, sieur du Mesnil, se marie en 1686 avec Demoiselle Francoise Le Bonisac (1673 - avant 1713).

Veuf, Jean François Saulnier se remarie avec Mathurine Olive Bouchard (1681 - après 1727), en 1713, à nouveau au Faou, mais annexe de Rosnoën. Jean François Saulnier, vit au Faou pendant quelques années, après le décès de son épouse. Propriétaire place Saint-Joseph et côté Saint-Sauveur, il s'est installé près des halles[6].

Lui et son frère, Théodore Saulnier, sieur de Villehaye, reçoivent des Lettres de reprise de noblesse maternelle, par eux obtenues le 2 août 1720, avec confirmation desdites lettres, par patentes expédiées à Lunéville le 3 novembre 1735[7].


Voir article détaillé : Cugnon


Voir article détaillé : Saulnier de Cugnon


Voir article détaillé :Descendance de Marie Catherine Saulnier de Cugnon


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Le quai de la Manufacture de tabac à Morlaix.

NOBLE OU BOURGEOIS[]

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Sa famille[]

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Evrard de Cugnon

Son grand-oncle, Evrard II de Cugnon et sa femme.

Descendant côté maternel des Cugnon, famille noble des Ardennes, et des Le Saulnier, des Bretons, côté paternel, Jean François Saulnier, sieur du Mesnil, est la tige des Saulnier de Cugnon.

Jean François Saulnier est le fils de François Saulnier du Mesnil, capitaine au Régiment de la Ferté[8], marié à Barbe Cugnon. Elle est la fille de Valentin de Cugnon et d'Anne de Circourt, morts au château de Gommery, en l'année 1636[9].


Voir article détaillé : Régiment de la Ferté


Côté maternel, Evrard frère de leur grand-père, Valentin, ancêtre donc des Saulnier de Cugnon a comme quartiers les de Grummelscheidt, du Mesnil, d’Ochain, de Lomprez, de Masbourg, de Rochefort, de Lellich, de Beauclain, de Walde, des Armoises, de Pouilly, de Custine, de Gorcy, de Hautoy. La famille desdits Cugnon, originaire du duché de Luxembourg, où elle a rang & séance parmi les gentilshommes dudit duché, et le frère de sa mère, Barbe de Cugnon, a épousé la nièce du maréchal de Fabert[10].

Sa jeunesse[]

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Morlaix, rue du Pavé (paroisse Saint-Mathieu).

Jean François Saulnier et son frère sont les neveux de Noble Homme Jan Saulnier du Mesnil (16?? - après 1687) qui les élèvent :

leur père ayant consommé son bien & partie de celui de sa femme, pour faire honneur aux emplois qu'il a eu dans les armées, auroit laisser les supplians en bas-âge, sans aucun secours que de la part de N. Saulnier, leur oncle paternel, demeurant pour lors à Morley en Bretagne, lequel les prit aupres de luy, où ils ont été élevés et tenus pour nobles[11].

Ce Jan Saulnier du Mesnil est le mari de Jacquette Turin, en juillet 1677, à Morlaix rue du Pavé (paroisse Saint-Mathieu). Elle est veuve de Hurel Des Esar, d'une famille anoblie en 1523, de Mesnil-Mauger, dans le Calvados, d'où le nom Saulnier du Mesnil :

Robertus Hurel au Mesnil Hurel unum feodum.

La famille Turin, issue vraisemblablement de la maison de Thurin de Puicheric en Languedoc, s'est fixée à Brest en la personne de noble Jean Turin, lieutenant de l'artillerie du château de Brest en 1560. Son fils cadet, écuyer Nicolas Turin, capitaine meurt au service du Roi du temps des guerres de religion. Il est l'auteur des Turin de Montmuel, Procureurs au Parlement de Rennes[12].

L'Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 du Finistère les dit d'origines espagnoles, certainement car ils font des affaires à Cadix et Séville[13]. La fille de sa femme se marie avec Xavier Ollivier de Kersaintgilly (1650 - 1712). Il est parrain de son neveu en 1687 au Faou.

On a des déclarations fournies pour la réformation du domaine du Roi, sous la juridiction de Morlaix, par Jean Saulnier, sieur du Mesnil pour une maison à Morlaix rue des Vignes (1677/1681)[14].

Bourgeois (1691 - 1706)[]

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Les Saulnier de Cugnon (du Mesnil et Villehaye) habitent hors de l'ancienne porte des vignes.

Avant la naissance de Jean-Gaspard Saulnier de Cugnon (1695 - 1753), Jean François Saulnier, sieur du Mesnil, est :

- en 1693, Jean-François Saulnier, assesseur de Morlaix, ayant acquis la charge à 60 livres de gages par an[15].

- en 1695, 2e consul de Morlaix, puis il est assesseur de la ville de Morlaix, et Consul en charge en 1696[16].

En 1697, Jean François Saulnier du Mesnil est consul. Une délibération de la communauté, du 5 août 1697, charge les anciens juges de rendre la justice et monter le siège en l’absence du juge et des consuls en charge.

En 1706, il est toujours négociant et à nouveau consul.

En 1711, Saulnier est d'après les A.D. de Brest un très influent négociant.


Le Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, d'Ambroise Pelletier (1758) se trompe en nous disant qu'en exerçant comme son frère le commerce en gros depuis 1691 jusqu'en 1706, ils dérogent[17]. Le Dictionnaire Universel De Commerce... est très clair sur la question :

La Profession mercantille doit être regardée comme noble & indépendante. En France Louis le Grand par deux de fes Edits, l'un du mois d'Août 1669, & l’autre du mois de Décembre 1701, a permis à fa Nobleffe de faire le commerce en gros tant par mer que par terre, fans déroger ; & l'on a fouvent vû des Marchands François & Etrangers annoblis par nos Rois, en confidération de l’utilité de leur commerce, ou pour avoir fait à Paris & dans les Provinces des établiffemens importans de Manufactures. En Bretagne le trafic même en détail ne déroge point à la Noblesse : lorsque les Nobles de cette Province veulent entreprendre le négoce, ils laiffent dormir la Nobleffe, c'est-à-dire, qu'ils ne la perdent point, mais feulement qu'ils ceffent de joüir des privilèges des Nobles tant que leur commerce dure ; & qu’ils reprennent la Noblesse en quittant le trafic, fans qu'ils foient tenus de prendre aucunes lettres de réhabilitation[18].

Son frère, Théodore Saulnier de Cugnon, seigneur de Villehaye[]

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Théodore Saulnier de Cugnon, sieur de Villehaye n'est pas sous-lieutenant des chevau légers de la garde, comme l'écrit Patcelte, dans Morlaix au travers des ages, Jean le Barbier (1692/1725), sans donner ses sources.

Théodore Saulnier de Cugnon, sieur de Villehaye exerce le commerce en gros depuis 1688 jusqu'en 1706. Mais comme son frère, ils occupent les premières charges de Morlay, où ils ont toujours vécu noblement[19]. En 1704, il devient consul de Morlaix. Il est en 1705-1706 (6 juillet), jurat de Morlaix, assesseur en 1708, échevin en 1712 et 1715[20]. En 1711, Saulnier de Villehay est juge consulaire de Morlaix[21][22].

Théodore Saulnier de Cugnon, sieur de Villehaye, se marie le 20 novembre 1693 à Morlaix (Saint Mathieu) avec Jeanne Yvonne Le Grand, fille d'Hervé Le Grand (1629 - 1671), Sieur de La Villeneuve et Jeanne de Kergroas (1629 - 1693).en 1686 avec Demoiselle Francoise Le Bonisac (1673 - avant 1713). Il élèvent les plus jeunes des enfants de Jean François.


Voir article détaillé : Théodore Saulnier de Cugnon, sieur de Villehaye


Lui et son frère, Théodore Saulnier de Cugnon, sieur de Villehaye reçoivent des Lettres de reprise de noblesse maternelle, par eux obtenues le 2 août 1720, avec confirmation desdites lettres, par patentes expédiées à Lunéville, le 3 novembre 1735[23].

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Ancienne Mairie de Morlaix.


LETTRES DE REPRISE DE NOBLESSE (1720 - 1735)[]

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Le Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758), nous dit que :

Extrait n°1 du Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois[]

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Les Saulnier de Cugnon, extrait n°1.

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Baronnie Cons-Granville.

Saulnier (Jean-François & Théodore frères), sieurs Duménil 8 de Vilhay, obtinrent permission de reprendre 8 suivre la noblesse, & porter es armes de Barbe de Cugnon leur mère, avec relief du défaut d'avoir renoncé à la succession de François Saulnier leur père, dans le tems prescrit par la coutume de Saint Mihiel, & de pouvoir ajouter à leur nom celui de Cugnon, & s’appeler Saulnier de Cugnon, par lettres expédiées à Lunéville le 2 août 1720, contenant : "Que feu François Saulnier]], sieur Duménil, leur père, capitaine au Régiment de la Ferté, étant en garnison à Longwy, y auroit épousé Barbe Cugnon leur mère", lesquels ayant fixé leur résidence au village de Villers-la-chèvre, qui étoit un arrière-fief appartenant à la famille des Cugnon, relevant de sa baronnie de Cons, aujourd'hui le marquisat de Lambertye, sous la coutume de Saint Mihiel, les supplians seroient nés, l'aîné audit Villers, & l'autre à Grandville, même coutume, suivant qu'il est prouvé par leurs extraits-baptistaires ; que leur père ayant consommé son bien & partie de celui de sa femme, pour faire honneur aux emplois qu'il a eu dans les armées, auroit laisser les supplians en bas-âge, sans aucun secours que de la part de N. Saulnier, leur oncle paternel, demeurant pour lors à Morley en Bretagne, lequel les prit...[24].

Extrait n°2 du Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois[]

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Acugnon

Les Saulnier de Cugnon, extrait n°2.

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Coutumes du bailliage de Saint Mihiel.

Fabert

Le frère de Barbe de Cugnon, ancêtre des Saulnier de Cugnon est le mari de la nièce d'Abraham, marquis de Fabert, maréchal de France en 1650.

... aupres de luy, où ils ont été élevés et tenus pour nobles ; que cependant étant arrivés à un âge plus avancé, ils auroient fait leurs efforts pour retrouver les titres de noblesse de leur père fans avoir pu y reuffir, ce qui les a poussé à demander le nom et les armes de leur mère fuivant et conformément à la coutume de Saint Mihiel où ils font, à l'effet qu'ils ont démontrés que Barbe Cugnon, leur mère etoit fille de Valentin de Cugnon et d'Anne de Circourt ses père & mère, morts au château de Gommery, en l'année 1636, que Valentin, frère d'Évrard, de Jacques de Cugnon, & beau-frère de Jacques de Foullon, donna, le 26 juin 1629, son dénombrement de la terre de Villers-la-chèvre, en conséquence des reprises qu'il en auroit faites à Jean de Custine, baron de Cons; ladite terre de Villers-la-chèvre lui appartenant du chef de N Custine, son ayeul, à qui cette terre auroit été donnée en arrière-fief pour apportionnement que d'ailleurs, par sentence du bailliage d'Étain, du 17 févr. 1663, le père desdits Jean-Franc. & Théodore Saulnier, a, du chef de Barbe Cugnon sa femme, partagé noblement, conjointement avec les autres enfans & héritiers de Valentin Cugnon, les successions de leurs père & mère & ayeul, ainsi que Nicolas Cugnon, fils d'Évrard Cugnon, neveu de Valentin de Cugnon, avoit précédemment partagé avec ses co-héritiers le 25 mars 1659; lequel fit, le 4 novem. 1664, ses reprises au duc Charles IV, des Fiefs qu'il possédoit ès prévôtés de Sancy & de Longwy; duquel Évrard de Cugnon se voit encore l'épitaphe en l'église parochiale d'Esche, village dépendant de la prévôté de Verton, ci-devant bailliage de Saint-Mihiel, abandonné par les ducs, par échange fait avec les ducs de Luxembourg en 1602, sur lequel sont gravées les armes dudit Evrard de Cugnon, avec celles de seize quartiers de sa noblesse, qui sont Cugnon, Wal, Cromelfcher, Dumesnil, Dochieu, de Lomprey, de Masbourg, de Rochefort, de Lellich, de Valdz, de Beauclin, des Armoifes, de Custine, de Pouilly, de Gorcey & du Hautoy que la famille desdits Cugnon, originaire du duché de Luxembourg, où elle a rang & séance parmi les gentilshommes dudit duché, est alliée à celles d'Armancourt, de Haflel, de Gemon que le frère de ladite Barbe de Cugnon avoit épousé la nièce du maréchal de Fabert, & que le père desdits Jean François & Théodore Saulnier a rempli avec distinction les emplois honorables dont il a été pourvu, que d'ailleurs lesdits supplians n'ont point dérogé à la noblesse de Barbe Cugnon leur mère, ayant été dans les premières charges de Morlay, où ils ont toujours vécu noblement[25].
Il n'est pas fait mention d'armoiries, mais ils portent d'argent, à la fasce de sable, accompagnée en chef de trois merlettes de gueules, & en pointe d'une rose de même[26].
Jean-François Saulnier de Cugnon, sieur du Mesnil, & Théodore Saulnier de Cugnon, sieur de Vilhay, tous deux demeurans en la ville de Morlay en Bretagne, obtinrent relief de défaut d'entérinement en la cour souveraine, des lettres de reprise de noblesse maternelle, par eux obtenues le 2 août 1720, avec confirmation desdites lettres, par patentes expédiées à Lunéville le 3 nov. 1735, contenant Que le 2 août 1720, ils auroient obtenu des graces de Léopold I, des lettres-patentes, par lesquelles, & en conformité d'un prescrit de la coutume de Saint Mihiel permet...[27].

Extrait n°3 du Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois[]

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Acugnon9

Les Saulnier de Cugnon, extrait n°3.

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Coutumes de Bretagne.

... de reprendre la noblesse de Barbe Cugnon leur mère, d'en porter le nom & les armes; lesdites lettres entérinées en la chambre du conseil & des comptes du duché de Bar, le 29 dudit mois 1720; que cependant on pourroit leur former quelques difficultés sur l'exécution & jouissance desdites lettres-patentes, en ce que :
1°. ils ont négligé d'en obtenir la confirmation nécessaire en exécution de l'édit du 19 décembre 1730, qui ordonne que tous ceux qui ont obtenu des lettres de noblesse, reprise de noblesse maternelle, de réhabilitation ou de confirmation, depuis l'année 1697 jusqu'alors, seront tenus d'en produire les titres au greffe du conseil d'état, pour en obtenir la confirmation, à peine contre ceux qui auroient négligé de satisfaire à cette obligation dans le terme du délai porté audit édit, d'être privés & déchus du bénéfice desdites lettres ; que les supplians étant alors domiciliés dans une province éloignée des états, ils n'auroient pu a avoir connoissance de cet édit & y fatisfaire.
2°. Que lesdites lettres de reprise de noblesse maternelle par eux obtenuës le 2 août 1720, ne faisant aucune mention qu'ils ont exercé le commerce en gros depuis 1691 jusqu'en 1706, on pourroit leur objecter que ne l'ayant pas exposé, & que conséquemment n'ayant pas été relevés de cet acte de dérogeance à noblesse, lesdites lettres ont été subreptivement impétrées & obtenuës, & ne doivent point avoit d'exécution, quoique dans les requêtes & mémoires qu'ils ptésentèrent pour les obtenir, ils ayent exposé qu'ils avoient été juges consuls en ladite ville de Morlay, qualité que l'on sçait n'être jamais possédée que par des gens de commerce; que d'ailleurs il est établi, tant par un édit du R. T. C , donné au mois de décembre 1701, que par la coutume de la province de Bretagne, résidence des supplians, que le commerce en gros ne déroge point.
3°. Enfin que lesdites lettres de reprise de noblesse maternelle ayant été adressées pour les enregistrement & entérinement, tant en la cour souveraine & Barrois, qu'en ladite chambre des comptes de Bar. Les supplians après en avoir obtenu l'entérinement en ladite chambre des comptes, ont négligé d'en poursuivre l'enregistrement en ladite cour souveraine de Lorraine, en sorte qu'il leur importe d'être relevés de tous lesdits défauts de formalité, & d'obtenir de nouvelles lettres, consitmatives des premières. Les armes n'y sont pas rapportées[28].
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Les origines de ses deux épouses.

MARIAGE AVEC FRANÇOISE LE BONISAC (1686)[]

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Son mariage[]

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Jean François Saulnier, sieur du Mesnil, se marie, en 1686, dans l'église de Daoulas.

Jean François Saulnier, sieur du Mesnil, se marie le 13 avril 1686, avec Françoise Le Bonisac (1667 - avant 1704), à Daoulas :

... mil six cent quatre vingt six, treize octobre la messe est donnée la bénédiction nuptiale a noble homme Jan Francois Saulnier de la paroisse de Saint Mathieu dans Morlaix, apres ? mois ? signé f Jager Vicaire de la paroisse de Saint Mathieu dans Morlaix Demoiselle Francoise Le Bonisac fille Honorable Pierre Le Bonisac et demoiselle Margueritte Le Bris. N du Sieur ? Saulnier du dit Morlaix ? les dicts aultres quy aussi signent.

Les Bonisac, des juifs convertis ?[]

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Au niveau du négoce des soieries et des toiles les Bretons sont concurrencés par les juifs et les étrangers.

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Les maisons Bonisac-Le Bris-Saulnier au Faou.

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Maison Bonisac-Le Bris-Saulnier au Faou (407)[29].

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Les Bonisac-Le Bris-Saulnier possèdent aussi cette maison (407) à l'emplacement de ce commerce, le Vet club.

Pierre Bonisac est marchand de drap et de soieries à Landévennec. L'activité venue des foires et marchés et les différentes manifestations religieuses liées au monastère amenaient de nombreux visiteurs. Bonisac vit au XVIIe siècle.

Son Le nom Bonisac est porté dans le Finistère. Peut-être un toponyme, à rapprocher de Bonizac, hameau à Guiscriff (Morbihan). Parmi les spécialistes des noms bretons, A. Deshayes ne donne aucune solution, faute de données anciennes, tandis de J.-M. Plonéis propose un terme gallois "bôn" avec le sens de tronc, souche. À envisager aussi un dérivé de Boniz, Bonis (voir ce nom).

Le patronyme Bonisac est rare à cette époque. Bonisac est un nom courant parmi les juifs du sud-est de la France au Moyen Âge[30]. On a le 23 juin 1389 la vente de Laurent Regord, de Saint-Hippolyte-de-Gaton, en faveur de Abraham Bonisac Nasci, juif d'Alés d'une terre au terroir de la Barriere sur St-Hippolyte[31].

Ce nom médiéval juif, judéo-provençal (archaïque) est une combinaison de bon (voir Bono) et Isaac[32]. Bonisaac est donc un ajout à un anthroponyme courant[33]. On retrouve des Bonisac dans toutes les communautés juives du sud de la France (Carpentras, Malaucène, Marseille, Carcassonne, Aix... ).

Mais Bonisac est peut-être un toponyme, à rapprocher de Bonizac, hameau à Guiscriff (56). Parmi les spécialistes des noms bretons, A. Deshayes ne donne aucune solution, faute de données anciennes, tandis de J.-M. Plonéis propose un terme gallois "bôn" avec le sens de tronc, souche[34]. Quoique ce hameau n'est-il pas la propriété par le passé d'un juif ou d'un converti du nom de Bonisac ? Il est étonnant de retrouver des marchands de drap et de soie avec un nom juif judéo-provençal (archaïque) au fin fond de la Bretagne. Cela n'a rien à voir les paysans bretons Salomon, David, Jacob, et autres Abraham qui peuplent la campagne bretonne, mais portent des prénoms de l'Ancien Testament.

Les juifs sont souvent marchands de drap et de soie, comme les Bonisac, et ils s'installent peu à peu en Bretagne. Face à des Juifs peu nombreux et dispersés, la tentation chrétienne du prosélytisme est grande, mais les conversions. Dans ce far west de la Bretagne néanmoins étant complètement plongés dans un milieu hostile les Bonisac se convertissent. Quand ? Où ? D'où viennent ils ? On en sait rien, car il n'existe pas d'archives sur les familles du Faou, de Daoulas et de Landévennec avant le XVIIe siècle.

Les Le Bris[]

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Inscription Le Bris (1630). Face sud du premier étage de la tour, église Saint-Sauveur, Le Faou.

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Maison des Le Bris au Faou, devenue de nos jours la Maison de Pays (408).

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La Maison de Pays (408), au Faou.

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La Maison de Pays, au Faou, et la maison à l'emplacement du Vet club sont mitoyennes.

Honorable homme Pierre II Bonisac (ca 1630/1635 - 1683), marchand de drap et de soieries, natif de Landévennec, se marie avec une Bretonne catholique, d'une familles de notables, comme certainement ses ancêtres depuis bien des génération. Effectivement, il se marie le 7 février 1664 à Daoulas avec Marguerite Le Bris (1639 - 1704). Elle est native de Daoulas et décède au Faou. Ils ont six enfants qui meurent jeunes, dont rançoise Le Bonisac (1667 - avant 1704), épouse de Jean François Saulnier, sieur du Mesnil.

Marguerite Le Bris (1639 - 1704) est la fille de Messire Guénolé Le Bris (ca 1600 - 1661), Procureur et notaire du Faou, à L'Hôpital-Camfrout, en 1642[35].

Guénolé Le Bris (ca 1600 - 1661) est d'abord marié à Françoise Brichet Dame de Lesquivit (ca 1610 - avant 1638), de Châteaulin, ancêtre des Le Bris notaires, dont Marie Urbanne Jacquette Le Bris de Lingoal mariée en 1761 avec Jean Gaspard Saulnier de Cugnon d'Alency. Guénolé Le Bris se remarie vers 1638 avec la mère de Marguerite Le Bris (1639 - 1704), Jeanne Ploue, Dame De Penanguer (1620 - 1659), de Daoulas. Jeanne Ploue décédée, il se remarie avec Françoise Jezequel.

L'an 1630, Jean Le Bris gouverneur fabrique a fait bâtir cette tour. Ce Jean Le Bris (ca 1570 - après 1630) est peut-être l'ancêtre des Le Bris et donc des Saulnier de Cugnon. On voit encore dans le bourg une maison située 39, rue du Général-de-Gaulle - la maison de pays - que la famille Le Bris fait agrandir en 1660. Il s'agit d'abord d'une famille de marchands de drap et de soie établis au Faou au XVIIe siècle. Propriétaires et à l'aise, on trouve entre autres François qui s'occupe des finances de l'église en 1700 et est peut-être l'aïeul des Le Bris notaires.

En 1655, Marguerite Le Bris (1639 - 1704) possède la future maison de pays (408). Elle va être l'épouse de Pierre II Bonisac (ca 1630/1635 - 1683), marchand de drap et de soie au Faou. Les Bonisac agrandissent la demeure, dont la nouvelle façade dépasse de 4 mètres l'alignement actuel de la maison. Les deux maisons sur les parcelles du premier plan (407 et 408) s'interpénètrent et communiquent. Pendant deux siècles, elles ont le même propriétaire. Il tient boutique dans l'une et vit parfois dans l'autre. Le surplus est loué.

Depuis le 8 octobre 1658, un certain Jacques Rouxel doit 200 livres à Guénolé Le Bris du Faou. La fille le Bris (future épouse du marchand de drap Bonisac) réclame au fils Rouxel l'argent dû à sa famille et tient bon. Le procès court. La dette envers les Le Bris se monte en 1707 à 1.250 livres payables en deux termes. On tranche à 800 livres (plus 350 livres à la cour)[36].

Cette Marguerite Le Bris (fille de Guennolé) est née à Daoulas en septembre 1639. Elle s'y marie le 7 février 1664 puis s'installe place des Halles, avec son mari Pierre Bonisac (1630 - 1683), originaire de Landévennec. Il est lui-aussi marchand de drap et de soie. En 1675, Marguerite Le Bris (1639 - 1704), belle-mère de Jean François Saulnier, hérite de plusieurs biens au Faou.

Nous n'avons pas trouvé d'inventaire après le décès de Pierre Bonisac mort de maladie le 31 Mai 1683, nous dit une historienne locale[37]. En 1704, peu de temps avant de mourir, son épouse fait ses partages. Elle donne ses maisons (407 et 408) rapportant nonante livres par an à son fils André Bonisac (1669 - 1705) commerçant au Faou. La maladie emporte ce dernier, dernier survivant de six enfants, à l'âge de 36 ans, l'année suivante.

Jean-François Saulnier hérite des Bonisac-Le Bris (1705)[]

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Saulnier, sieur du Mesnil, s'installe près des halles, au Faou.

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Le port du Faou permet à Saulnier d'expédier et de recevoir une partie de ses marchandises.

Les biens de cette très riche famille de marchands de drap et de soie passent, en 1712, à son beau-frère Jean-François Saulnier, sieur du Mesnil, veuf de Françoise Bonisac (1667 - avant 1704) et garde de ses enfants. Négociant, ancien consul de Morlaix, ce dernier vit au Faou pendant quelques années, après le décès de son épouse avant 1704. Il est propriétaire de de plusieurs belles maisons place Saint-Joseph et côté Saint-Sauveur. Il s'installe près des halles. La succession de Sébastien Le Bris, mentionne qu'il rend aveu en 1643 à l'écuyer Charles Robin pour une maison acquise près des halles[38]. Ce Sébastien Le Bris est un parent, côté maternel, de son ex-épouse.

Nous ignorons pour l'instant à quel commerce se livrent les locataires de la boutique 407 depuis la mort d'André Bonisac en 1705. Françoise DanielouU, commerçante et veuve de Nicolas Ménard, estpropriétaire en 1722 de cet immeuble. Elle l'acquiert avec la maison 407, des héritiers de Jean François Saulnier de Cugnon pour 500 livres et une rente annuelle de 60 livres[39].

Les enfants de son premier mariage[]

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La Maison de Pays (408), au Faou, rapporte comme rente foncière annuelle 60 livres aux héritiers de Saulnier.

Saulnier jeanne marguerite

Acte de baptême de Jeanne Marguerite, fille légitime de nobles gens Jan Francois Saulnier et demoiselle francoise bonisac.

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Le château de Trémazan construit en 1248. Il appartient à cette époque à la famille du Chastel. La femme de Jean François Saulnier de Cugnon en descend par les femmes.

En 1754, les enfants Saulnier, avertis d'une mutation d'immeuble, réalisent soudain que la rente due sur la maison est impayée depuis 11 ans. Ils font assigner en justice, en 1755, Joseph Chapperon. C'est Fébvrier, le nouveau propriétaire des lieux qui règle la dette et verse 660 livres de rente, en deux fois, aux Saulnier.

En 1791, deux ans avant de décéder et dans l'incapacité de rembourser ses dettes, Marie-Yvonne 011ivier, vend sa maison (et la rente foncière annuelle de 60 livres toujours due aux héritiers de Saulnier), à son beau-frère Christophe Autret notaire à Daoulas, époux de Marie-Françoise Thirot[40].

Jean François Saulnier et noble demoiselle Francoise Le Bonisac (1667 - avant 1704) ont trois enfants, dont :

¤ Le 5e Jour d'avril Lan Six cent quatre vingt sept a été baptisée Jeanne Marguerite, fille légitime de nobles gens Jan Francois Saulnier et demoiselle francoise bonisac demeurant dans la ville de Morlaix paroisse de saint mathieu ... sur le fond baptismal par noble homme Jan Saulnier frere du Menil avec Marheritte Le Bris ... de déffunt Noble homme Pierre Bonisac parain et Maraine la fille née le troisième ... baptisée dans l'église ... Saint Sauveur dans la ville du Faou ... figurant ... de ladit église. Margueritte Le Bris D. Saunier Saulnier André Bonisac.

On voit que dès 1687, bien avant la reprise de noblesse de 1720, les actes parlent de nobles gens Jan Francois Saulnier et demoiselle francoise bonisac.


¤ François Saulnier, sieur du Mesnil (1693 - après 1745). Prise de la Dépêche de Liverpool, de 55 tonneaux, venant d'Antigua chargée de sucre, coton et rhum, prise le 28 janvier 1745 par la frégate du Roi, l'Émeraude, capitaine de Saint-Alouarn, armé en course au Havre par M. J. du Bocage et F. du Mesnil.


¤ Jean Gaspard Saulnier de Cugnon Dalancy (1695 - 1753), écuyer, tige des Saulnier de Cugnon. Leurs enfants conservent les maisons du Faou une quinzaine d'années puis les cèdent[41].
Aasc205

LAN 1630 : IAN : LE : BRIZ : GOVERNEVR FABRIQVE : A : FAIT : bâTIR : SVR : CETE : TOVR. Jean Le Bris (ca 1570 - après 1630) est peut-être l'ancêtre des Le Bris et donc des Saulnier de Cugnon.

REMARIAGE AVEC OLIVE BOUCHARD (1713)[]

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Son remariage à Saint-Audoën de Rosnoën[]

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Saulnier mariage

Mariage de Saunier du Mesnil avec Mathurine Bouchard en 1713.

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Du Mesnil se remarie en 1713 dans l'église Saint-Audoën de Rosnoën.

Veuf, Jean François Saulnier se remarie avec Mathurine Olive Bouchard (1681 - après 1727),en 1713, à nouveau au Faou, mais annexe de Rosnoën. Il est à cette époque Conseiller du Roi, assesseur de la ville de Morlaix et ancien consul :

Le jour 9e may 1713 après les fiançailles et une proclamation des bans canoniquement faite au prosne de la grande messe en la ville du faou annexe de rosnohen sans avoir rencontré aucun empechement et les dispenses des deux autres banniers donnés par Monseigneur l'abbé Lezonnet docteur en Sorbonne, chanoine de la cathedrale de Quimper et grand vicaire de Cornouailles daté du 7 may à six heures apres midy 1713 signé des pretres Lezonnet vicaire general, et plus bas Jacques furie prosecretaire insinuée à Quimper le 8 may 1713 aux insinuations ecclesiastiques de l'eveque de cornouailles et controlles du clerge du diocese signe Je qui sossigné pretre et chanoine de notre dame du mur de morlaix ... tréguier en presance et du consentement de MM les curés du Faou apres avoir interrogé et conjoint en mariage noble homme jean françois saulnier sieur du mesnil veuf et de son premier mariage avec demoiselle francoise bonisac, conseiller du roy et assesseur de la ville de morlaix et ancien consul d'icelle demeurant depuis quelques anees en cette ville pour l'eligement de la succession (recette, paiement), estuis à ses enfants mineurs de demoiselle margueritte le bris la belle mere et dudit sieur bonisac son fils et de demoiselle mathurine ollive Bonisac veuve de deffunt noble homme jacques claude de saint fray officier de marine par moy publiquement pris en presence de monsieur villay saulnier frere dudit sieur epouse et de monseigneur Jouhandeau frere de la dite demoiselle épousée et plusieurs autres....

Sa deuxième belle-famille[]

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AASC19

Jean François Saulnier, sieur du Mesnil, se remarie en 1713 à Rosnoen.

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Église Saint-Audoën Rosnoën.

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Maître chirurgien à cette époque.

Mathurine Olive Bouchard (1681 - après 1727) est née le 12 avril 1681, à Le Faou. Elle est présente au mariage de son beau-fils, Jean Gaspard Saulnier de Cugnon Dalancy (1695 - 1753), le 24 novembre 1727, à Audierne. Elle est veuve de Jacques Claude de Saint Fray, officier de marine, et ne semble pas avoir des enfants de ce premier mariage.

Le père de Mathurine Olive Bouchard, Louis Bouchard, est Maître chirurgien. Est-il membre de la famille Bouchard, sieurs de Kerbouchard, qui porte d'argent à 3 dauphins de sable sur un sceau de 1387 ?[42]. Veuf, il se remarie, après 1683,avec Marie Ellez, qui est marraine de sa fille, Marie, en 1714.

La mère de Mathurine Olive Bouchard (1681 - après 1727), Marguerite Monicart (ca 1655 - 1683) est la fille de Sébastien de Monicart (ca 1625 - avant 1679), lui-aussi Maître Chirurgien, Sieur de Keridiern, Noble Homme, fils d'un autre chirurgien, François de Monicart, de Quimper, marié en 1626 à Blaise du Buc[43]. Elle est certainement parente de Jean-Baptiste de Monicart.

Dame de Sonnier, du fait de son mariage elle est marraine en 1720 à Morlaix paroisse Saint-Martin. Le parrain est Maître Pierre Louis Le Gac de Lansalut, écuyer, procureur du Roi de la Cour Royale de Lanmeur et de la police de Morlaix.

Les enfants de son deuxième mariage[]

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Lannux

Jean Lannux du Rascoët, époux de Marie Catherine Saulnier de Cugnon,, est entre autres Vice-consul d'Espagne.


Jean François Saulnier, sieur du Mesnil, et Mathurine Olive Bouchard ont quatre enfants dont :

¤ Marie Saulnier est née le 12 novembre 1714 au Faou. Son parrain est son oncle Théodore Saulnier de Cugnon, sieur de Villehaye et sa marraine, Marie Ellez, la belle-mère de sa mère.


¤ Louis Jean Saulnier est né le 24 décembre 1715 à Morlaix. Son parrain est Maître Pierre Louis Goix du Tabac et sa marraine damoiselle Marie Thérèse Quemeneur, dame du Mendy. Les témoins sont G. Quémeneur, avocat du roy, Sieur de Varenne, Jeanne Ursule Saulnier,

Anne le Rassart de Parthenay.


¤ Mathurine-Hyacinthe Saulnier (après 1715 - après 1756) habite Rennes. Son neveu, par alliance, Jean Lannux du Rascoët, époux de Marie Catherine Saulnier de Cugnon, la fille de son demi-frère Jean Gaspard Saulnier de Cugnon Dalancy, lui cède tous les droits à la succession d'Elisabeth de Cugnon en 1738.


¤ Catherine Elisabeth Saulnier (après 1715 - après 1731), Marraine de Marie Catherine Saulnier de Cugnon en 1731, future épouse de Jean Lannux du Rascoët.


Voir article détaillé :Descendance de Marie Catherine Saulnier de Cugnon


Aadu1

Le vieux port de Morlaix.

NOTES ET RÉFÉRENCES[]

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  1. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  2. MAISON DE PAYS suite
  3. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  4. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  5. Nobiliaire et armorial de Bretagne, Volume 3, Pol Potier De Courcy, Editions des Régionalismes, 2015.
  6. LE CONTACT 1996
  7. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  8. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  9. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  10. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  11. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  12. Bulletin et mémoires ..., Volume 93, Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine 1991.
  13. Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Articles B 4160-4670 et appendice. Inventaire des fonds des Amirautés de Morlaix et de Quimper, du Consulat and de Tribunal de commerce de Morlaix. Rédigé par J. Lemoine and H. Bourde de La Rogerie, Volume 3 de Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Finistère. Typographie A. Jaouen, imprimeur de la Préfecture, 1902.
  14. Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Loire-Inferieure. Archives civiles. Series A a C, Volume 1, Collection des inventaires-sommaires des archives départementales antérieures à 1790, Impr. et librairie administratives de P. Dupont, 1865.
  15. LISTE DES MAIRES ET PROCUREURS-SYNDICS
  16. Nobiliaire et armorial de Bretagne, Volume 3, Pol Potier De Courcy, Editions des Régionalismes, 2015.
  17. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  18. Dictionnaire Universel De Commerce: Contenant Tout Ce Qui Concerne Le Commerce Qui Se Fait Dans Les Quatre Parties Du Monde, par terre, par mer, de proche en proche, & par des voyages de long cours ... : Divisé en III Volumes et en IV Parties. P - Z, Volume 3, Jacques Savary des Bruslons, Rédacteur Philémon Louis Savary, Éditeur Estienne, 1742.
  19. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  20. LISTE DES MAIRES ET PROCUREURS-SYNDICS
  21. Volume 1 de Correspondance des intendants avec le contrôleur général des finances, 1677-1689: naissance d'une administration, sous-série G7, inventaire analytique, Anette Smedley-Weill, Archives nationales, 1989.
  22. Histoire politique et municipale de la ville et de la communauté de Morlaix depuis les temps reculés jusqu'à la Révolution Française, Georges Le Jean, Guilmet, 1846.
  23. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  24. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  25. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  26. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  27. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  28. Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier (1758).
  29. https://www.arfaou.net/archives_documents/Bulletin%20municipal/1997/contact021997.pdf LE FAOU RUM GOL]
  30. Seror Simon. Sur quelques noms portés par les juifs de France au Moyen Âge. In: Nouvelle revue d'onomastique, n°5-6, 1985. La Picardie. pp. 150-154.
  31. Inventaire du notariat de Saint-Germain de Calberte (Hérault), Yannick Chassin du Guerny.
  32. Medieval Jewish Submitted Names
  33. Seror Simon. Deux noms d'or : Bonafos et Bonanasc. In: Nouvelle revue d'onomastique, n°7-8, 1986. Les Pyrénées. pp. 171-177.
  34. Noms commençant par B
  35. AD 4 E 67/6 - 1642.
  36. FAITS DIVERS D'UN AUTRE TEMPS
  37. LE CONTACT 1997
  38. LE CONTACT 1997
  39. MAISON DE PAYS suite
  40. LE FAOU RUM GOL
  41. LE CONTACT 1997
  42. BOUCHARD, de Kerbouchard, Bulletin, 1894, 115-8, B.n.F. : 8° Lc21. 27 (4).
  43. Histoire de Quimper Corentin et son canton, Volume 3 de Le Finistère monumental, Louis Le Guennec, Éditeur Les Amis de Louis Le Guennec, 1984. p. 199.
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