Wiki Guy de Rambaud
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                          Didier de Toulouse

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Enluminure du Bréviaire d'Alaric II : notables gallo-romains.

Awi 44

Toulouse capitale du royaume Wisigoth au Ve siècle.

Didier de Toulouse, Desiderius, est né en 548 certainement à Albi. Il est tué en 587, lors d'une bataille devant Carcassonne.


Didier est l'un des derniers membres de la gens Syagrii. Il devient dux de Toulouse et d'une partie de l'Aquitaine (583 - 587). Didier est originaire d'Albi - ou sa famille s'y installe à cette époque. Il est certainement peut-être le fils de l'évêque Désiré de Verdun et de la noble dame Clotilde de Toulouse. Didier est apparenté à un grand nombre d'évêques et de seigneurs laïcs.

Didier est un des généraux de Chilpéric Ier, roi de Soissons (561-584), roi de Paris (567 - 584). Ce dernier envoie Didier avec la tâche de conquérir l'Aquitaine. Ce chef d'armée profitant des conflits fratricides entre les héritiers du royaume franc, pour servir ses intérêts personnels[1].

Le patrice Eunius Mummolus intervient dans le conflit entre le roi d'Austrasie Sigebert et le roi de Soissons, Chilpéric. Il réussit à battre Didier de Toulouse, en Limousin en 576[2]. Un an plus tard, en 577, Didier ravage la future Touraine. Il séjourne dans la région parisienne et affronte le roi Sigebert (d'Austrasie) à qui il prend Périgueux, Agen, et Albi[3]. En 581, toujours pour le compte de Chilpéric, il profite de la discorde entre Childebert et Gontran pour s'emparer de l'Agenais et du Périgord, possessions de Gontran[4]. Didier fait en 582 une alliance avec Eunius Mommulus[5]. En 583, Chilpéric Ier donne la province d'Aquitaine à un certain Bladast et à Didier. Le roi les envoie au Pays Basque où ils subissent une lourde défaite. Au printemps 583 le roi envoie le duc Didier attaquer les armées de Gontran à Châteaumeillant. Didier et Bladast, rejoint par le duc de Poitiers, Berulfus, assiègent Bourges, mais Chilpéric signe la paix avec Gontran.

Après la mort de Chilpéric II en 584, Didier, duc de Toulouse, s'empare du trésor de Rigonde, fille du roi défunt. Un usurpateur Gondovald quitte Avignon, traverse l'Auvergne, et se fait proclamer roi à Brives en décembre 584. Puis il parcours l'Aquitaine et la Novempopulanie pour se faire reconnaître et réunir une armée[6]. Gondovald et Didier malmènent l'évêque de Toulouse, Magnulf[7]. Gontran, qui a fait du jeune roi d'Austrasie, Childebert, son héritier, rassemble ses forces. Gondovald, l'usurpateur, est trahi par le duc Didier, en 585. Pour lui c'est la fin !

Didier parvient à rentrer en grâce auprès de Gontran et est toujours duc de Toulouse. Il doit cependant rendre sa captive, Rigonde. Il intervient en 587 pour soutenir la Septimanie révoltée contre le roi Récarède, mais est tué devant Carcassonne.

Ce portrait est celui d'un véritable chef de guerre, passant le plus clair de son temps à cheval, guerroyant de longs mois, officiellement au service des rois, profitant en réalité de ses missions pour piller des régions entières et s'enrichir personnellement. Sa zone d'action est centrée sur l'Aquitaine, mais le lieu où il réside entre ses campagnes guerrières n'est jamais mentionné. La seule indication précise que nous donne Grégoire de Tours concerne pourtant Albi dont il dit que Didier avait placé surtout dans le territoire de cette ville le meilleur de sa fortune. S'il n'y réside peut-être pas, il y possède au moins des propriétés qui lui assurent l'essentiel de ses revenus et que sa femme, Tétradie, et ses fils vont recevoir en héritage après sa mort[8].

Sa veuve, Tétradia, fille d'un paysan et une femme d'ascendance noble, est renvoyée à la cour de son premier mari, Eulalius, comte d'Auvergne. Il la dépouille de ses biens et les enfants de Didier et Tétradia sons déclarés illégitimes.

A660

Fibules mérovingiennes.

Sa famille[]

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Salvi

Saint Salvi d'Albi.

Deux noms appartiennent au patrimoine de la gens Syagrii : le premier et le plus prestigieux, Syagrius, rappelle l'ancêtre illustre dont entend descendre la famille : Flavius Afranius Syagrius, préfet du prétoire pour la Gaule et consul dans les années 380, qui semble avoir fait souche dans la région lyonnaise (où il est enterré). Ses descendants se lient par la suite au gré d'alliances matrimoniales à de puissantes familles gallo-romaines du Lyonnais, de Provence, d'Auvergne et d'Aquitaine. Or celle qui nous intéresse, compte dans son patrimoine anthroponymique un autre noms: Didier/Désiré (Desiderius). Le principe héréditaire de latransmission de ces trois noms s'avère donc fort utile à l'historien qui peut ainsi, face à des sources disparates, ordonner et reconstituer une esquisse de généalogie à travers ces deux siècles[9].

Désiré de Verdun est marié à une noble dame de Toulouse, qui est peut-être une fille de Gesalic. Il a au moins quatre fils :


¤ Didier de Toulouse, dux


¤ Syagrius, évêque d'Autun à la fin du VIe siècle. En 599, le pape Grégoire lui décerne le pallium


¤ Gondobald de Meaux, comte


¤ Salvi d'Albi, évêque d'Albi entre 571 et 584, est d'une famille de l'Aquitaine première (Bourges)[10]. Ce denier est le père avec la noble et pieuse Herchenfrède de :

¤¤ Syagrius (564-629), comte d'Albi et gouverneur de Marseille; se marie avec une jeune fille d'une famille très illustre, c'est-à-dire sans doute romaine, malgré son nom germanique Bertolène[11].

¤¤ Rusticus, évêque de Cahors, assassiné en 630.

¤¤ Didier de Cahors (né à Albi-† 15 novembre 655), évêque de 630 à 655. Frère de Rustique, nommé par le roi Dagobert Ier pour rétablir l'ordre franc à Cahors.


¤ La femme du duc Launebode de Toulouse, Bérétrude, est peut-être une fille de Désiré de Verdun. Son petit-fils est Didier, comte de Boulogne, dont nous allons retrouver l'arrière-petite-fille mariée au premier Robertien.


Descendance de Latinus, patrice de Lyon


Du temps du roi Chilpéric (561-584)[]

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Victoires et défaites[]

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Grégoire de Tours, et saint Salvi, évêque d'Albi, devant Chilpéric.

L'Aquitaine a souffert de l'incursion des Saxons en 573, du temps du duc Launebode de Toulouse.

En 574, Chilpéric lance une offensive pour reprendre l'Aquitaine. Toutefois son armée, dirigée par le duc Gondovald, est battue. En 575, Didier, qui n'est qu'un général gouverne l'Aquitaine au nom des rois d'Austrasie, à qui l'Aquitaine est alors dévolue. En 576, il marche, par ordre de Chilpéric, vers le Quercy, l'Albigeois et les autres contrées voisines de son gouvernement. Il s'en empare sur Sigebert, et pousse ses conquêtes jusque dans le Limousin.

Après ses victoires, il doit affronter Eunius Mummolus, général des troupes de Gontran, roi de Bourgogne, qui prend la défense des états de son neveu le jeune Childebert, fils de Sigebert, à qui l'Aquitaine appartient légitimement, étant venu à la rencontre de Didier, le bat, et l'oblige à fuir avec précipitation. Didier perd, selon Moreri, 20.000 hommes.

Plus tard, Didier, pour obéir aux ordres de Chilpéric, qui alors est d'intelligence avec Childebert contre Gontran, s'empare, en 581, de l'Agenois et du Périgord, qu'il réunit an domaine du roi son maître.


Selon Grégoire de Tours, Chipéric rédige un décret stipulant que l’on nomme Dieu la Sainte Trinité. Cela ressemble à l’hérésie du prêtre Sabellius. Grégoire rejette son traité et le roi se tourne vers saint Salvi d'Albi, évêque et frère de Didier. Il le rejette également. Chilpéric se plie à la volonté des évêques et Didier reste duc.

La fin du règne de Chilpéric[]

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A474

Assassinat de Chilpéric (584)

En 583, Didier va ravager le Berry. Il bat Gontran qui vient défendre ses états. A ses troupes venues d'Aquitaine, se sont jointes celles du duc Bladast venues de Novempopulanie. La bataille a lieu près de la ville forte de Châteaumeillant (Mediolanense castrum). Les envahisseurs en sortent victorieux. Ils s'unissent avec les troupes du duc Berulfus venues de Tours. Ils s'emparent de la place forte d'Argenton (Argentomagus) et continuent leur chemin en incendiant et pillant tout sur leur passage. Puis ils établissent le siège de Bourges. Mais peu de temps après, le roi Gontran ayant à son tour vaincu Chilpéric, la paix s'en suit.

Didier s'en revient à Toulouse. Il ravage au passage la Touraine. Il est fâché de n'avoir pu signaler davantage la gloire de ses armes, et déterminé à saisir la première occasion de sortir du repos dont il jouit à regret. Il ne tarde pas à la voir naître. Chilpéric est assassiné en 584 et Didier veut lui donner en Aquitaine un successeur qui lui doit la couronne[12].

Du temps du roi Gontran (584-587)[]

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Gondovald (584)[]

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Itinéraire de Gondovald.

Pour réussir dans ce dessein, il jette les yeux sur un certain Gondebaud, bâtard de Clotaire, roi de France, méconnu de son père, et tour à tour admis ou rejeté par ses autres parents. Son ennemi d'hier, Eunius Mummolus, fait le même choix. Lui et Didier déclarent Gondebaud roi. D'Avignon, ils chevauchent vers Toulouse et l'Aquitaine.

L'évêque de Toulouse n'arrive pas à organiser la défense de la ville. Toulouse se reconnaît sans force pour résister à Gondovld et au duc Didier (Desiderius). Magnulphe, conservant ses préférences et son courage devant le vainqueur éphémère et violent, en recueille le prix trop ordinaire, c'est-à-dire des injures, le plus sanglant des outrages, enfin l'exil. Grégoire de Tours nous parle de ces exhortations fondées sur ses propres préférences ou sur ses principes politiques, et du fait qu'il a excité les Toulousains à se séparer de leur Duc, à se révolter contre lui, et à refuser de reconnaître pour roi un usurpateur inconnu[13].

En 585, Didier abandonne tout à coup la cause de Gondebaud, lorsque les rois Gontran et Childebert, que l'usurpateur menace également, se sent réunis. Didier se retire dans quelques châteaux fortifiés de l'Albigeois, où il attend les événements. Gondebaud, trahi à son tour, périt assassiné sous les murs de la ville de Comminges[14].

Rigonde (584)[]

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Fredegonde essaie de tuer sa fille Rigonde, en 589.

Didier capture la princesse Rigonde, fille de Chilpéric et de Frédegonde, qui fait une halte à Toulouse. Elle va en Espagne pour épouser Reccarède, prince des Wisigoths. Une partie des soldats chargés d'escorter la princesse vient de disparaître en emportant tout ce qu’elle peut voler, selon Grégoire de Tours. Elle fait une halte à Toulouse qui se prolonge, car ce mariage ne lui convient pas[15].

Didier revient à Toulouse, arrête Rigonde, s'empare de ses derniers bijoux et du reste des trésors qu'elle emporte avec elle, la menaçant des plus cruels traitement; ce qui oblige cette princesse à se réfugier dans l'église de la Daurade, asile alors sacré. Didier n'ose pas l'arracher par violence. Mais on la décide à en sortir, et elle est envoyée dans un exil.

Finalement la princesse est renvoyée à sa mère en 585, lorsqu'il essaie de faire oublier sa trahison[16]. Frédégonde essaie de la tuer... mais c'est une autre histoire !

Duc de Toulouse[]

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A

Gontran et des chefs militaires.

Didier alors employant avec succès la médiation du saint abbé Yrier, non seulement obtient le pardon de Gontran, mais encore il reçoit de ce prince le gouvernement du duché de Toulouse, qui appartient alors à Gontran. Il se jette à ses pieds pour le remercier de sa bonté, selon Moreri.

Ainsi, grâces à ses ruses, le duc, ambitieux, est le seul qui se retire sans dommage d'une entreprise qui à cette époque conduit à l'échafaud.

En 587, Gontran rend à Childebert l'Albigeois. Cette restitution ne plaît pas à Didier. Il perd là une partie de son gouvernement. Il aime séjourner dans l'Albigeois. Il y a son patrimoine et sa famille, qui sont comte et évêque de la ville.

Le duc prend le parti d'abandonner au plutôt ce pays, et d'aller avec sa femme Tétradia, ses enfans et les biens qu'il peut emporter, fixer sa demeure dans le Toulousain, qui demeure toujours sous la domination de Gontran [17].

La Septimanie[]

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477

Conversion du roi Reccared.

Les Wisigoths possèdent une partie de la Septimanie. Le peuple de ce pays se révolte contre le roi Reccarède, car il abjure l'arianisme, pour rentrer dans le sein de l'église catholique. Les seigneurs rebelles appellent à l'aide le duc Didier de Toulouse, en lui laissant convoiter la conquête de la Septimanie[18].

Le duc s'empresse de les écouter. Il marche contre Carcassonne qu'il investit, mais qu'il ne peut prendre comme espéré.

Les généraux du monarque wisigoth ayant défait les rebelles, viennent au devant de Didier en 587. Après l'avoir attaqué, ils feignent de prendre la fuite. Didier vole à leur poursuite ; mais n'ayant pu les atteindre, il revient vers Carcassonne suivi de peu de monde, ses troupes fatiguées étant demeurées en arrière[19].

Les assiégés s'en aperçoivent; sur le champ ils font une sortie avec tant de succès, que les Aquitains vaincus abandonnent le champ de bataille. Didier trouve la mort malgré sa longue résistance[20].

Austrovalde est son successeur au duché de Toulouse[21].

Mariages et descendance[]

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Merovingien nanthildis

Nanthilde et Clovis II, son fils.

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Saint Authaire/Sanctus Autarius. Vitrail église Saint-Médard - Lizy-sur-Ourcq.

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Fresque de Disciola (Sainte-Radegonde, Poitiers)

Didier de Toulouse est marié puis veuf vers 565. Nous ne savons pas s'il a des enfants avec sa première femme, juste qu'elle meurt assassinée [22]

Tétradia abandonne son mari, le comte Eulalius d'Auvergne, car il entretient une concubine, pour épouser le duc Didier. Les dignités des deux maris sont précisées mais Tétradia est juste dit par Grégoire de Tours nobilis ex madre, padre inferiore (= noble par sa mère mais d'un père inférieur)[23]. Euladius qui a tué sa mère, son neveu, son demi-frère... qui vit avec des prostituées... donne à l'Eglise son propre fils pour obtenir un jugement partial de son ex femme. Son fils est tondu, vêtu de loques, mange de l'orge pour que l'archevêque organise une mascarade de synode. Les prêtres et les grands du pays se réunissent en 589. Eulalius se porte partie contre Tétradia. Il est décidé que Tétradia restituera au quadruple ce qu'elle a emporté. Les fils qu'elle a eu de Didier sont déclarés bâtards; mais il lui est accordé, en rendant à Eulalius ce qui est ordonné, de pouvoir revenir en Auvergne et de jouir, sans que personne puisse y porter atteinte, des biens qu'elle a de la succession de son frère[24]. Didier et Tétradia ont plusieurs enfants, dont :


¤ Authaire de Sancy


¤ Dagobert nomme Werner Warnachaire), un héritier des Hattuaires au comté de Laurenbourg[25]. Il se marie à une fille de Didier. Ils sont les ancêtres de la maison de Nassau.


¤ Une autre fille se marie avec un autre Warnachaire. Ils sont les parents de :

¤¤ Sandrégisile, duc d'Aquitaine et sans doute Gallo-Romain d'origine[26], seigneur de Bobigny, maire du Palais. Lui-même père de :

¤¤¤¤ Nantilde, mère de Clovis II


¤ Sainte Disciola, abbesse de Sainte-Croix de Poitiers. Elle est nièce de l'évêque Salvi d'Albi[27].

Notes et références[]

  1. Les familles aristocratiques de l'Albigeois au VIème et VIIème siècle.
  2. Ferdinand Lot, Naissance de la France, Librairie Arthème Fayard, 1948.
  3. Les familles aristocratiques de l'Albigeois au VIème et VIIème siècle.
  4. Jean-Mamert Cayla, Perrin-Paviot, Histoire de la ville de Toulouse depuis sa fondation jusqu'à nos jours, Bon et Privat, 1839.
  5. Traditio, Volume 13, Institute of Research and Study in Medieval Canon Law, Johannes Quasten, Stephan Kuttner, Fordham University Press, 1957.
  6. Ferdinand Lot, Naissance de la France, Librairie Arthème Fayard, 1948.
  7. Les familles aristocratiques de l'Albigeois au VIème et VIIème siècle.
  8. Les familles aristocratiques de l'Albigeois au VIème et VIIème siècle.
  9. Les familles aristocratiques de l'Albigeois au VIème et VIIème siècle.
  10. La famille et la jeunesse de Didier, évêque de Cahors
  11. La famille et la jeunesse de Didier, évêque de Cahors
  12. Volume 1, Biographie Toulousaine, ou Dictionnaire historique des personnages qui ... se sont rendus célèbres dans la ville de Toulouse, ou qui ont contribué à son illustration, Etienne-Léon de Lamothe-Langon, Alexandre Du Mège, J. Théod Laurent-Goss, Michaud, 1823.
  13. Mémoires de l'Académie des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse, 1856.
  14. Volume 1, Biographie Toulousaine, ou Dictionnaire historique des personnages qui se sont rendus célèbres dans la ville de Toulouse, ou qui ont contribué à son illustration, Etienne-Léon de Lamothe-Langon, Alexandre Du Mège, J. Théod Laurent-Goss, Michaud, 1823.
  15. Volume 1, Biographie Toulousaine, ou Dictionnaire historique des personnages qui ... se sont rendus célèbres dans la ville de Toulouse, ou qui ont contribué à son illustration, Etienne-Léon de Lamothe-Langon, Alexandre Du Mège, J. Théod Laurent-Goss, Michaud, 1823.
  16. Ferdinand Lot, Naissance de la France, Librairie Arthème Fayard, 1948.
  17. Volume 1, Biographie Toulousaine, ou Dictionnaire historique des personnages qui ... se sont rendus célèbres dans la ville de Toulouse, ou qui ont contribué à son illustration, Etienne-Léon de Lamothe-Langon, Alexandre Du Mège, J. Théod Laurent-Goss, Michaud, 1823.
  18. Clovis contre Alaric: l'histoire de l'Empire wisigoth de Toulouse à Tolède, Patrice Georges Rufino, Jo Ducasse, P.G. Rufino, 1996.
  19. Volume 1, Biographie Toulousaine, ou Dictionnaire historique des personnages qui ... se sont rendus célèbres dans la ville de Toulouse, ou qui ont contribué à son illustration, Etienne-Léon de Lamothe-Langon, Alexandre Du Mège, J. Théod Laurent-Goss, Michaud, 1823.
  20. Clovis contre Alaric: l'histoire de l'Empire wisigoth de Toulouse à Tolède, Patrice Georges Rufino, Jo Ducasse, P.G. Rufino, 1996.
  21. Volume 1, Biographie Toulousaine, ou Dictionnaire historique des personnages qui ... se sont rendus célèbres dans la ville de Toulouse, ou qui ont contribué à son illustration, Etienne-Léon de Lamothe-Langon, Alexandre Du Mège, J. Théod Laurent-Goss, Michaud, 1823.
  22. L'Abbaye de Saint-Pierre de Lyon, Volume 24 de Université de Lyon. Fac. des lettres, Joseph Picot, Société d'édition Les Belles Lettres, 1970.
  23. La noblesse de l'Empire romain: les masques et la vertu, Epoques, collection d'histoire, Christophe Badel, Editions Champ Vallon, 2005.
  24. Volume 1, Biographie Toulousaine, ou Dictionnaire historique des personnages qui se sont rendus célèbres dans la ville de Toulouse, ou qui ont contribué à son illustration, Etienne-Léon de Lamothe-Langon, Alexandre Du Mège, J. Théod Laurent-Goss, Michaud, 1823.
  25. De Clovis à Charlemagne: histoire et généalogie, Didier-Georges Dooghe, MCD, 2000.
  26. Les cartulaires angevins: étude sur le droit de l'Anjou au Moyen Age, G. d' Espinay, Cosnier, 1864
  27. Les religieuses dans le cloître et dans le monde des origines à nos jours, Volume 4 de Travaux et recherches, Centre européen de recherches sur les congrégations et ordres religieux, Volume 2 de Actes du ... colloque international du CERCOR, Centre Européen de Recherches sur les Congrégations et Ordres Religieux, Nicole Bouter, Centre Européen de Recherches sur les Congrégations et Ordres Religieux, Université de Saint-Etienne, 1994.
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