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Désiré

Désiré de Bourges, chancelier, archevêque, puis saint.

Désiré de Bourges, Desiderius, surnommé Theodule, est né en mars 512 à Sauciacum oppidum (Sancy, entre Soissons et Meaux) et décédé le 8 mai 550 dans l'Église Saint-Désiré, à Saint-Désiré, au retour d'un concile à Clermont, de fièvres, comme il l'avait prédit[1].


Désiré est un important serviteur des fils de Clovis[2], plus précisément un cancellarius, un ancêtre des chanceliers de France[3]. Désire utilise sa fonction pour faire construire nombre d'églises et de monastères. Mais il avait aussi souvent l'envie de quitter cette cour pleine de débauches et de cruautés. Desideratus cherche à éliminer la simonie et l'hérésie dans les terres de Clotaire. Il veut prendre se retirer dans un monastère. Cependant le roi Clotaire, recommandé son secrétaire comme successeur de saint Arcade, comme 22e archevêque sur le siège de Bourges, en 538. Désiré guérit selon la légende les malades et récupère pour son église des reliques de martyrs. Pendant les neuf années où il dirige le diocèse, la renommée de ses miracles et de ses interventions en faveur de la paix sont très célèbres. Il assiste au Ve Concile d'Orléans, le 28 octobre 549, et au second d'Auvergne, qui se tient au plus tard au commencement de l'année suivante. Ces conciles condamnent les erreurs de Nestorius et d'Eutychès, et font de sages règlements pour la manutention ou le rétablissement de la discipline ecclésiastique.

Désiré est l'un des plus grands évêques de l'époque mérovingienne et contribue à tirer la Gaule du chaos où l'a plongée l'effondrement de l'empire romain et qui lui rendent une civilisation en la rendant chrétienne.

Saint Désiré est le patron de la pluie.

SA FAMILLE[]

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A484

Radegonde et son frère survivant au massacre de sa famille. Désiré de Verdun est peut-être à gauche de la gravure.

Saint Désiré est le frère d'Agia de Sancy, et le beau-frère de Gondebaud de Burgondie, noble de Lyon, arrière-petit-fils de Gondebaud[4]. Il est l'oncle de Désiré de Verdun, 9e évêque de Verdun (529 - 554). Agia et Désiré sont les enfants d'Augin, personnage qualifié, et d'Agia, femme très noble. Hi nobiles vifi, Augino viro illuftriffimo, Agiâ feminâ generofiffimâ procreati funt. E vit. S. Desiderati Episc. Bituric. sub Cloth[5].

En l'an 510, il y a, à Sancy, un homme riche et puissant, nommé Auginus. Selon les hagiographes de Désiré de Bourges, il est le compagnon d'armes de Clovis et son fidëis. Pour eux ce viro illustrissimo est un vaillant guerrier de la nation des Saliens. Il a combattu aux côtés du roi à la bataille de Soissons (486) et à celle de Tolbiac (496)[6]. La mère d'Agia, autre Agia, est dite Nobiles vifi d'Auginus. Son prénom latinisé est Austregilde. Ils sont très pieux selon tous leurs contemporains.

Auginus et Agia vivent à Sancy. Selon les mêmes hagiographes de Désiré de Bourges, le roi Clovis leur donne le domaine et le château de Brana, Brena, Breina et Brema (= Braine)[7]. Ce domaine comporte t'il à la fois le château de Braine et la vaste forêt qui s'étend jusque sur les bords de la Marne[8] ?

Toutefois un autre hagiographe nous parle de la lignée des aïeux de Désiré et de son avenir tout tracé. Il serait l'héritier de son nom et le restaurateur de sa race. Il le destinait à la milice. Il était tout naturel que ce fils des vétérans fût comme ses pères et embrassât la carrière des armes. Tout cela fait plus penser à l'armée romaine qu'aux guerriers de Clovis.

Clotaire vient très souvent à Braine dans ce Palatlum Brennacum (= palais royal) qui fait partie de son héritage, et qu'il affectionne particulièrement[9]. Il n'est par contre jamais question de Braine au niveau des descendants d'Aginus, mais de Sancy et du saltus Joranus, sur l'autre rive de la Marne.

Dépossédés par l'établissement des Barbares de la plupart des charges politiques qu'ils détenaient dans l'administration impériale, les nobles gallo-romains vont se tourner vers l'Église[10]. Gondobadus n'est pas évêque, mais son beau-frère, Désiré de Bourges, l'est et son fils aussi Désiré de Verdun. Selon Grégoire de Tours, la famille de la belle-fille de Latinus est aussi propinquus de saint Auguste/Août, un abbé qui construit à Brives à l’est de Bourges, vers le milieu du VIe siècle, un oratoire dédié à saint Martin.

Les deux autres fils de l'Auginus de Sancy, Deodatus - Trésorier du Roi - et Desiderius meurent assassinés.

Du VIe à la première moitié du VIIe siècle environ le nom Syagrius ou Syagre, rappelle l'ancêtre illustre dont entend descendre la famille : Flavius Afranius Syagrius, préfet du prétoire pour la Gaule et consul dans les années 380, qui semble avoir fait souche dans la région lyonnaise. Ses descendants se lient par la suite au gré d'alliances matrimoniales à de puissantes familles gallo-romaines du Lyonnais, de Provence, d'Auvergne et d'Aquitaine. Au niveau de la branche aquitaine implantée dans le Quercy et l'Albigeois, elle compte dans son patrimoine anthroponymique deux autres noms : Didier/Désiré (Desiderius) et Salvi (Salvius). Le principe héréditaire de la transmission de ces trois noms s'avère donc fort utile à l'historien qui peut ainsi, face à des sources disparates, ordonner et reconstituer une esquisse de généalogie à travers ces deux siècles[11].

Certains auteurs ne vont pas hésiter à voir dans la classe sénatoriale l'origine de la noblesse médiévale, moderne, actuelle... Au VIe siècle on connaît, pour la Gaule au sud de la Loire, 27 comtes d'origine gallo-romaine sur 43 et, 3 sur 12 au nord de la Loire. Mais l'élimination ou l'assimilation aux familles barbares commencent. Les derniers Syagrii sont saint Didier, évêque de Cahors et son frère Syagrius, comte d'Albi, puis gouverneur de Marseille décédés vers 655[12].


Auginus (Augin) de Sancy Hi nobiles viri Augino viro illustrissimo[13] et Agia (= Austregilde), Agiâ feminâ generosissimâ procreati sunt, non seulement ont passé leur temps et leur argent pour aider les pauvres, mais aussi pratiquement transformé leur villa en hôpital. Ils sont les parents de :

  • Didier, moine, martyr des ariens[14].
  • Deodatus (= Dieudonné), thesaurorum regalium summus et fidelis procurator de Clotharis[15], mort assassiné par des envieux[16].
  • Désiré
  • [hyp] fils de Auginus marié à une fille de Toniantius Ferreol et Industria de Narbonne, parents de :
    • Auginus, sénateur de Bourges, père de :


Saint Austregisile (551-624), archevêque de Bourges comme Désiré de Bourges, est le fils d'un autre Auginus, sénateur de Bourges. Le nom de leurs pères est altéré, signe d’une acculturation peu courante. Il peut s’agir une déformation de Gundinus ou Agilenus[17]. Verus, évêque de Rodez, nous est connu par l’achat d’une villa à Agilenus (= Auginus), père de Bobila, senatrix romana. Se dessine ainsi un groupe anthroponymique auquel pourrait finalement appartenir nos évêques[18]. Dans le royaume franc et dans les Etats qui en sont sortis, c’est-à-dire du VIe au Xe siècles, les parents appartenant à l’aristocratie ne donnent pas à leurs enfants n’importe quel nom[19]. Selon Settipani[20] les noms d'Agilenus (= Auginus), Bobila et Severus, dont on sait par ailleurs, qu'il s'agit du père, de la fille, et de l'époux de celle-ci, sont liés à l'archevêché de Bourges et au Sénat romain. Agilenus (= Auginus) est le neveu ou le parent proche de Deoteria. Cette reine est originaire d'Auvergne, issue d'une grande famille aristocratique gallo-romaine, Deoteria est probablement apparentée à Sidoine Apollinaire, à saint Avit de Vienne et à l'empereur Eparchus Avitus[21].

CHANCELIER DE FRANCE[]

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A647

Le chancelier de France Eloy remet les scels à Clothaire II.

Le premier secrétaire est un familier du roi. Il devient progressivement le Chancelier de France[22]. Il avait le pouvoir d'inspection sur tous les notaires, greffiers et secrétaires. Hincmar de Reims indique que sous Clovis, cette fonction est remplie par Aurélien, et qu'il porte le sceau et l'anneau du roi. Il le désigne par «consiliarius & legatarius regis. Aymoin l'appelle familiarissimum regi. C'est l'homme de confiance du roi, son conseiller et député. Désiré fait chasser un hérétique du nom d'Asiannus d'Autun et guérit la tentation simoniaque qui perd les habitants d'Auvergne et du Berry[23].

Nommé archevêque, le roi l'envoie en Espagne pour négocier les affaires du royaume. Il réussit à amener la pluie aux Espagnols qui souffrent de sept années de sécheresse[24].

LE Ve CONCILE D’ORLÉANS[]

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A658

Concile d'Orléans en 538. Désiré y est certainement, soit comme délégué.

Le Ve Concile d'Orléans, le 28 octobre 549, est le plus nombreux des conciles gaulois du VIe siècle. Il groupe 6 métropolitains (Lyon, Arles, Vienne, Bourges, Eauze, Sens ; en outre Bordeaux, Reims et Tours ont envoyé un délégué), 43 évêques et 21 délégués. Bien que convoqué par Childebert I roi de Paris, il compte également des évêques venus des deux autres royaumesde Gaule, celui de Clotaire I, roi de Soissons et d'Orléans et celui du fils de Thierry de Metz, sur lequel ses deux oncles exercent une sorte de régence.

Ce Concile condamne les erreurs des Eutychéens, des Nestoriens, et suivant Baluze, des Ariens dont l'hérésie gagne auprès d'Orléans. Un canon porte : que l'on n'ordonne point un serf, même affranchi, sans la volonté de son maître. Si on l'a fait, que le serf soit rendu à son maître; mais s'il en exige des services incompatibles aux ordres ecclésiastiques, qu'alors l'évêque donne au maître deux serfs et qu'il reprenne celui qu'il a ordonné. Qu'on ne donne point à un peuple, dit le Concile, un évêque qu'il refuse, et qu'on n'oblige point le peuple ou le clergé à s'y soumettre par l'oppression des personnes puissantes, autrement l'évêque ainsi ordonné par simonie ou par violence, sera déposé. Ce qui fait voir que la liberté des élections diminue depuis la domination des barbares.

. 9 - Qu'aucun laïc ne soit ordonné évêque s'il n'a accompli une année de préparation ; au cours de cette année, il sera instruit d'une façon plus approfondie par des hommes sages et éprouvés, dans la discipline et les règles spirituelles. Si un évêque a l'audace de passer outre à ces prescriptions dans l'ordination, sous quelque prétexte que ce soit, il sera tenu à l'écart de son office et de la communion de ses frères pendant un an.

c. 10 - Qu'il ne soit permis à personne d'obtenir l'épiscopat à titre de récompense ou à la suite d'arrangements; mais que ce soit avec la volonté du roi[25], conformément à l'élection du clergé et du peuple, comme il est écrit dans les anciens canons[26], que l'évêque soit consacré par le métropolitain, ou celui qui le représentera et avec le concours des comprovinciaux. Si quelqu'un viole cette règle en achetant l'évêché, nous ordonnons de révoquer celui qui a été ordonné contre récompense.

c. 11 - De même, comme l'ont prescrit les anciens canons, aucun évêque ne sera donné à ceux qui n'en voudraient pas. Et que, on a honte de le dire, les citoyens et les clercs ne soient pas incités à donner leur assentiment sous la pression de puissants personnages. S'il en allait autrement, l'évêque ordonné par violence plus que par un décret légitime, serait déposé à jamais de l'honneur du pontificat. c. 12 - Tant que l'évêque est en vie, aucun autre évêque ne doit être placé au dessus de lui ou ordonné en surplus, si ce n'est à la place de celui qu'une faute très grave a exclu de son siège[27].

COLLEGIALE SAINT-URSIN[]

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La Collégiale Saint-Ursin, à Bourges, est fondée par saint Désiré. Gregoire de Tours nous apprend, que cette église est bâtie hors l'enceinte de l'ancienne ville, par Désiré, qui commence de tenir le siège patriarcal l'an 545. et qu'il l'a dédie à Saint-Symphorien. Par la suite le corps du premier archevêque saint Ursin, miraculeusement trouvé sous un cep de vigne, y est transporté par saint Probien, son successeur, et par saint Germain évêque de Paris, environ l'an 558[28].

SAINT MARTIN DE BRIVES (550)[]

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Ce prieuré est primitivement un monastère bâti par aumônes, sous l'épiscopat de saint Désiré, 22e archevêque de Bourges, vers l'an 550. Saint Août, son domestique et parent, y introduit des religieux. Une preuve de son antiquité est dans son surnom, qui annonce le voisinage d'un pont, mot qui n'est plus en usage populaire depuis le VIe siècle. On ignore si ce monastère du Pont est considérable à cette époque, mais il est certain qu'avant 1789 il n'en existera plus qu'une chapelle et un bâtiment peu étendu. Cette chapelle élégante est maintenant une grange, et c'est vivement à regretter car c'est la seule du style roman que possède la ville de Bourges; elle mériterait donc, dans l'intérêt de l'art, d'être rendue au culte afin d'en assurer la conservation. Tout auprès on a construit des bâtiments de demeure et d'exploitation. Ce domaine est situé le long de l'embranchement de la route de la Charité, et parallèlement au cimetière des Capucins[29].

Concile Arvernense, de Clermont en Auvergne[]

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A646

Crypte où repose le corps de saint Désiré.

Ce Concile s'assemble peu à près celui d'Orléans, et ne fait qu'en promulguer de nouveau seize canons. Comme nous découvrons, dit l'un, que beaucoup de gens remettent en servitude ceux qui, selon la coutume du pays, ont été affranchis dans les églises, nous ordonnons que chacun reste en possession de la liberté qu'il a reçue; et si cette liberté est attaquée, que la justice soit défendue par les églises. Les autres portent : Que les prisonniers soient visités chaque dimanche par l'archidiacre ou un préposé de l'Église, afin qu'il soit pourvu à tous leurs besoins. Que le voile ne soit donné aux vierges, que la volonté de leurs parents ou la leur conduit dans un monastère, qu'après trois ans d'épreuves. Qu'un évêque qui apprend qu'il y a des lépreux tant sur son territoire que dans la ville, leur fournisse tout ce qui leur est nécessaire dans leur malheur. Qu'un maître qui n'aurait pas tenu à son serf le serment qu'il lui aurait donné pour le faire sortir de l'Église, soit excommunié. Que si le serf ne veut pas sortir sur la parole de son maître, celui-ci pourra employer la force, afin que l'Église ne souffre pas de dommage ou de calomnie, comme si elle retenait les serfs. Si le maître est païen ou hérétique, il doit présenter des chrétiens clignes de confiance qui jurent pour lui. Qu'il ne soit permis à personne d'acquérir l'épiscopat par des présents, mais que, avec la volonté du roi, l'évêque élu par le clergé et le peuple, ainsi que le prescrivent les anciens canons, soit sacré par le métropolitain, ou celui qu'il a commis en sa place, et les évêques provinciaux. Qu'on n'excommunie pas pour de légères causes. Que les prêtres ne voient pas, à des heures suspectes, même leurs proches parentes. Que les évêques ne fassent pas des ordinations dans un diocèse vacant par la mort de son évêque[30].

Désiré meurt le 8 mai 550, selon l'opinion la plus probable, en revenant de ce Concile à Salviacus, au sud de l'archevêché de Bourges. Saint-Désiré est un village situé entre Clermont en Auvergne et Bourges. Vers 1055, Archambault de Bourbon, son frère Aymon, archevêque de Bourges et Ebbes de Déols, fondent un prieuré à saint Désiré.

NOTES ET RÉFÉRENCES[]

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  1. Histoire de Berry, Volumes 1 à 2, Gaspard Thaumas de la Thaumassière (sieur du Puy-Ferrand), Jollet, 1863.
  2. Histoire de Berry, Volumes 1 à 2, Gaspard Thaumas de la Thaumassière (sieur du Puy-Ferrand), Jollet, 1863.
  3. Histoire Des Chanceliers Et Gardes Des Sceaux De France Distingués Par les Regnes De Nos Monarques: Depuis Clovis premier Roy Chrestien, jusques à louis Le Grand XIVesme du nom, heureusement Regnant : Enrichie de leurs Armes, Blasons, & Genealogies, François Du Chesne 1680.
  4. Christian Settipani, Les Ancêtres de Charlemagne, 1989.
  5. Quel fut l'état des personnes en France, sous la première et la seconde race de nos rois? ouvrage couronné par l'Académie Royale des inscriptions & Belles-Lettres en 1768 ... François Antoine Etienne de Gourcy, Nyon l'aîné, 1789.
  6. Grande vie des saints: comprenant la vie et les fêtes de Notre-Seigneur et de la très-sainte Vierge, des saints de l'Ancien et du Nouveau Testament, des bienheureux et des vénérables serviteurs de Dieu, les plus récents et des plus illustres confesseurs de la foi, Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy, Édouard Daras, L. Vivès, 1899.
  7. La France pontificale, H. Fisquet, Repos, 1864 ou Histoire physique, civile et morale des environs de Paris, depuis les premiers temps historiques jusqu'a nos jours; contenant l'histoire et la description du pays et de tous les lieux remarquables compris dans un rayon de vingt-cinq à trente lieues autour de la capitale, Jacques-Antoine Dulaure, Moeau (printer.), Guillaume, Ponthieu, P. Corneille, 1826.
  8. La forêt de Daulle actuelle n'est qu'un lambeau de cette immense forêt.
  9. Histoire de Braine et de ses environs, Stanislas Prioux, Dumoulin, 1846.
  10. É. Griffe. La Gaule chrétienne à l'époque romaine, t.III : La cité chrétienne, M. Meslin, Revue de l'histoire des religions, 1966, numéro 170-2.
  11. Les familles aristocratiques de l'Albigeois au VIème et VIIème siècle..
  12. La société française au Moyen Age, Histoire et civilisations, Alain Derville, Presses Univ. Septentrion, 2000.
  13. Quel fut l'état des personnes en France, sous la première et la seconde race de nos rois ? ouvrage couronné par l'Académie Royale des inscriptions & Belles-Lettres en 1768 ... François Antoine Etienne de Gourcy, Nyon l'aîné, 1789.
  14. Histoire Des Chanceliers Et Gardes Des Sceaux De France Distingués Par les Regnes De Nos Monarques: Depuis Clovis premier Roy Chrestien, jusques à louis Le Grand XIVesme du nom, heureusement Regnant : Enrichie de leurs Armes, Blasons, & Genealogies, François Du Chesne 1680.
  15. Historia : Zeitschrift fur alte Geschichte, Volume 36, Historia 1987.
  16. Histoire Des Chanceliers Et Gardes Des Sceaux De France Distingués Par les Regnes De Nos Monarques: Depuis Clovis premier Roy Chrestien, jusques à louis Le Grand XIVesme du nom, heureusement Regnant : Enrichie de leurs Armes, Blasons, & Genealogies, François Du Chesne 1680.
  17. LE DIOCESE DE BOURGES AU HAUT MOYEN ÂGE DE SAINT URSIN A AUDEBERT (IVe s. - 1097)
  18. K.-F. WERNER, Liens de parenté et noms de personne, Famille et parenté dans l’Occident médiéval, Rome, 1977.
  19. LE DIOCESE DE BOURGES AU HAUT MOYEN ÂGE DE SAINT URSIN A AUDEBERT (IVe s. - 1097)
  20. La Noblesse du Midi carolingien: études sur quelques grandes familles d'Aquitaine et du Languedoc du IXe au XIe siècles, Volume 5, Christian Settipani, Occasional publications of the Oxford Unit for prosopographical research 2004
  21. Lebecq, Stéphane. Nouvelle histoire de la France médiévale, tome 1: Les origines franques Ve-IXe siècle, Éditions du Seuil, 1990.
  22. Gallica BnF : R.P. Anselme - Histoire des grands officiers de la couronne de France, avec leur origine et les progrès de leurs familles, Tome second - Paris - 1674
  23. Histoire Des Chanceliers Et Gardes Des Sceaux De France Distingués Par les Regnes De Nos Monarques: Depuis Clovis premier Roy Chrestien, jusques à louis Le Grand XIVesme du nom, heureusement Regnant : Enrichie de leurs Armes, Blasons, & Genealogies, François Du Chesne 1680.
  24. Histoire Des Chanceliers Et Gardes Des Sceaux De France Distingués Par les Regnes De Nos Monarques: Depuis Clovis premier Roy Chrestien, jusques à louis Le Grand XIVesme du nom, heureusement Regnant : Enrichie de leurs Armes, Blasons, & Genealogies, François Du Chesne 1680.
  25. . Il s'agit là d'une exigence qui ne figure pas dans les conciles antérieurs, mais qui est conforme à une pratique suivie depuis Clovis.
  26. Conciles de Nicée. c. 4 ; d'Antioche, c. 9, mais aussi d'Orléans 533 c. 7. Clermont 535. c. 2. Orléans 538. c. 3. Plusieurs des évêques qui siégent au concile de 549 ont participé à ceux de 533 et 535 (cf. J. CHAMPAGNE et R. SZRAMKIEWICZ, Recherches sur les conciles des temps mérovingiens. RHD, XLIX (1971), 5-49).
  27. Elections épiscopales à l'ère mérovingienne
  28. Histoire de Berry, Volumes 1 à 2, Gaspard Thaumas de la Thaumassière (sieur du Puy-Ferrand), Jollet, 1863.
  29. Notices historiques, archéologiques et philologiques sur Bourges et le département du Cher, Claude C. Pierquin de Gembloux, Just Bernard, 1840.
  30. Chronologie historique des papes, des conciles généraux et des conciles des Gaules et de France: renfermant des dissertations historiques su la papauté, les officiers et les lettres apostoliques, les conclaves, les couronnements des papes, les différentes sortes de conciles; sur leur autorité..., Louis Mas Latrie, Perisse frères, 1840.
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