Wiki Guy de Rambaud
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Joinville - maison des Leclerc, 14 rue de l'Auditoire.

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Antoine Leclerc devient seigneur de Berg du fait de son mariage. Le château va être reconstruit et devenir résidence des Ducs du Luxembourg.

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Blason des Le Clerc de Vrainville : d’azur, à un lion d’or, senestré de deux épées d’argent, à garde et poignées d’or, posées en sautoir, les pointes en bas, accompagnées, en chef et en pointe, de deux estoiles aussy d’or[1]. Couronne (de comte). Supports : deux hommes sauvages.

Antoine Leclerc de Berg est né en 1718, à Joinville (Champagne), et décédé après 1793.

Antoine Leclerc de Berg est seigneur de Vrainville et Frédeau, Everlange (1752), et du fait de sa femme, de la Seigneurie de Bergh, avec les villages de Colmart, Welsdorf, Cruchten sur l'Alzette, les censes de Lellingen, Beringen, Schleyden et Zelen. Il est aussi Conseiller à la Chambre des comptes de Lorraine, bailli et juge, ancien capitaine, baron. C'est un membre de la Famille Le Clerc, de la branche de Vrainville. Cette branche est originaire de Champagne, alliée au XVIIIe siècle à la famille de Heisgen, et par là en possession de la seigneurie de Berg-Colmar. Il est présent aux Assemblées de la noblesse du Bailliage royal de Nancy, en 1789[2].

A l’époque du seigneur Jean-Gérard de Heisgen, la seigneurie se trouve en situation florissante, mais sous son successeur, le sire de Vrainville, qui s’adonne à la débauche et aux dépenses inconsidérées, et qui s’endette de plus en plus pour assouvir ses désirs et ses passions, elle dépérit. Éduque dans l’école de Voltaire, dominé par l’irréligiosité et l’immoralité, il s’est attiré par sa vie dissolue la réprobation de toute la région environnante. Plusieurs de ses actes réprouvables se sont maintenus dans la tradition orale des habitants de Berg.

Par cette mauvaise gestion, l’accumulation des dettes, le sire de Vrainville est obligé en 1764, de vendre la seigneurie, avec l’accord de son épouse. Ses dettes publiques s’élevent à 9.750 Reichsthaler, et 6.720 florins du Brabant, sans compter les dettes privées. Une grande part de ces dettes ont pour créancière la demoiselle de Blochausen, des usines sidérurgiques de Berg.

SA FAMILLE[]

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Les Leclerc de Vrainville[]

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Les origines[]

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L'origine des Leclerc : le Château de Faucompierre.

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Blason des Pulligny.

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Blason des Leclerc de Vrainville sur le portail de leur maison à Mont Saint Vincent.

La Famille Le Clerc descend de Mengin Le Clerc, gendre de Jaques de Gircout, feudataire (= vassal) de Liébaut de Hautepierre en 1285. Sa femme, Catherine de Gir[e]court est la sœur de Philippin de Girecourt, écuyer, décédé sans enfants avant 1355. Il est marié à Clémence, fille de feu Jean de Pulligny (ca 1250 - 1314), chevalier[3].

Il existe une Généalogie manuscrite de la maison de Leclerc, Seigneur de Courlaine[4], du Buisson, de Vrainville et de Fredeau, originaire de Champagne, datant de ‎1698. Cette généalogie débute avec Nicolle Leclerc. La production de cette famille, remontant à 1552, est rejetée par Caumartin en 1667. Elle passe à la seconde recherche, en 1698 [5]. Contrairement aux descendants de l'autre branche, les Pulligny, qui ne sont plus nobles en 1789 et révolutionnaires, l'avant-dernier Leclerc de Vrainville émigre et est marquis, selon la Liste générale des pensionnaires de l'ancienne liste civile, avec l'indication sommaire des motifs de la concession de la pension, en 1833. C'est une famille noble admise en 1671 par M. de Caumartin et Larcher, son successeur et ajoutées dans l'Armorial de Chevillard et Dubuisson.

La famille Le Clerc est originaire de Remiremont[6]. Colin Leclerc est toutefois échevin de Nancy et tabellion dans cette ville. En effet le 24 juin 1393, un créancier du Duc, à Nancy, donne quittance à la communauté des habitants et à tout aiant cause', notamment Jehan Bailli, Didier Coley, Colin Le Clerc, tabellions. En ces trois personnages, nous voyons les trois échevins de la cité[7].

Jehan Leclerc de Pulligney, Procureur des Vosges, est le neveu d'un Jacques conseiller des Ducs de Lorraine en 1420. Seigneur en partie de Pulligny, Ceintrey (1462), Voinemont... il est anobli le 3 janvier 1464[8]. Il a d'une Pulligny Mengin II Le Clerc, Gouverneur et ils sont les ancêtres de tous les Leclerc. Il a de nombreux enfants dont :

Les enfants de Jehan Leclerc de Pulligney[]

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Blasons des Leclerc (Armorial Dom Pelletier).

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La métallurgie autour de Saint-Dizier à la fin du XVe siècle, d'après AN. 300 APII429.

1. Nicolle Leclerc, prêtre Généalogie manuscrite de la maison de Leclerc, Seigneur de Courtaine, du Buisson, de Vrainville et de Fredeau, originaire de Champagne, datant de ‎1698.
1. Didier Leclerc, chapelain de l’évêque de Thérouanne Henri de Lorraine-Vaudémont ; Collation de la chapelle Saint-Jean en l’hôpital de Joinville (21 mai 1475) ; de Saint-Mihiel Immunité (6 août 1482)[9].
1. Etienne Leclerc, marchand de Malaincourt et Beautremont (Vosges) ; Autorisation de résider à Neufchâtaau (28 oct. 1485)[10].
1. Pierre Leclerc (1455 - après 1493), serviteur de l’évêque de Metz ; Nommé contrôleur du grenier à sel de Joinville (juin 1492) ; Nommé écuyer de cuisine du Duc (13 avril 1493)[11].
1. Henri Leclerc (1450 - après 1524), tige des Vrainville, bourgeois de Joinville, nommé contrôleur du grenier à sel de Joinville (7 déc. 1483)[12]. L'administration royale vient en 1371 de créer le grenier à sel de Joinville, dont lui et ses descendants vont être grenetiers. Henri est aussi marchand de Joinville, Confirmation de bail à lui consenti (15 déc. 1487) ; lieutenant du bailli de Joinville, Confirmation d'acquisition (25 avril 1489) ; Nommé conseiller en l’hôtel et grand conseil du duc (13 avril 1493) ; trésorier de la chapelle ducale ; Nommé receveur du grenier à sel de Joinville (7 sept. 1489) ; Nommé grenetier de Joinville (1 sept. 1494), Confirmation d’acquisition de rente 14 juin 1497[13]. L'évêque Henri de Lorraine-Vaudémont, baille pour cent sous de cens le lieu de Tonival au marchand de Joinville Henri Leclerc, qu'il charge d'y élever plusieurs installations, métallurgiques ou non. Dans le premier mois de leur construction, l'Administration Royale des Eaux et Forêts détruit les bâtiments. Une procédure judiciaire, entre le 12 et le 16 juillet 1489, est faite par le procureur du Roi à l'encontre d'Henri de Lorraine-Vaudémont et d'Henri Leclerc...[14]. Dans un acte de désistement de 1493, Henri Leclerc doit renoncer à tout ce qu'il a entrepris en ce lieu ainsi qu'à poursuivre d'éventuels débiteurs. Le laboureur octogénaire Jean Menginot affirme que ce serait la destruction du pays si la forge était érigée à l'endroit prévu par Leclerc. Un autre parle de danger... Ici, le point de vue de l'adversaire n'est jamais évoqué, même par le propre cousin de Leclerc, notamment les créations d'emplois. Henri Leclerc peut construire sa propre pêcherie et prendre tout le poisson qu'il voudra[15]. Freiné par de nouvelles écluses, le commerce sur la Marne est menacé directement par le projet de Roches. Henri Leclerc vient de commencer d'étouper le cours de l'eau pour faire ses retenues, bloquant ainsi les brelles et autres marchandises en amont de Saint-Dizier. La deuxième intervention des gens de l'administration a lieu entre 1493 et 1494. Henri Leclerc a récemment loué pour trois ans et 50 sous la nef et sa corde. La halle à charbon est prête et la forge redressée. Deux séries d'estocs de bois sont plantées au travers de la Marne, ceux du bac légèrement en aval du site. Tout va être réduit à néant. Henri Leclerc apparaît à plusieurs reprises dans des lieux de future implantation de sites : à Rachecourt-sur-Blaise (forge connue en 1524 au moins), également à Braux (peut-être confusion pour le site de Roches)[16]. Il est le père de :

Les premières générations[]

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Michel Leclerc est Doyen de l‘église Saint-Laurent de Joinville.

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A Mont Saint-Vincent, en 1570, Le Mesnil, dont le porche porte encore les armoiries des Leclerc de Vrainville.

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Prez-sur-Marne.

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Leclerc de Buffon est le fils d'un conseiller du roi, président d'un grenier à sel.

2. Un certain Arnoul Leclerc se trouve cité à Charmes-en-Langle, en 1509. Cette famille de marchands a pu se multiplier dans l'activité locale du fer au point de constituer, elle-aussi, un groupe de pression redoutable. Un lien existe entre ces deux milieux lorrain et français. Le cousin de Leclerc, Pierre Gaulery, sert le bailli de Saint-Dizier après avoir été lieutenant du maître du Val. Lorsqu'il pressent le projet de Roches, il tente d'en dissuader son auteur... en vain[17].
2. Michel Leclerc, doyen de l‘église Saint-Laurent de Joinville est nommé procureur spécial du duc (19 août 1494), puis conseiller en l'hôtel ducal (2 juin 1501)[18].


2. Jacques Ier Leclerc (1470 - après 1515), natif de la région de Troyes, qui se distingue à la bataille de Fournoue (1495) dans le cadre de la conquête de Naples[19].


3. Nicolas Leclerc (1515 - 1577), Écuyer, seigneur de Courlaines et du Bois-st-Pierre, natif du Mont-Saint-Vincent (Bourgogne)[20], Seigneur, conseiller du roi au bailliage et siège présidial de Saint-Dizier, vers 1550[21]. Il est marié à Jeannette Le Mairat, d'une famille noble champenoise[22]. Nicolas a deux enfants :


4. Simon, écuyer, seigneur du Bois-st-Pierre, de Sailly, Aumont, Molleron, s’installe à Mont Saint-Vincent, en 1570, dans la demeure qui devait devenir Le Mesnil et dont le porche porte encore les armoiries des Leclerc de Vrainville, contrairement à Jacques II qui suit :
4. Jacques II Leclerc (1540 - avant 1573), écuyer, s’installe, pour sa part à Saint Dié. Il se marie le 6 novembre 1552 avec Simone Perrecin ou Perain[23]. Leur descendance conduit à Georges-Louis Leclerc, Comte de Buffon, au Père Capucin Joseph Leclerc du Tremblay, éminence grise de Richelieu, au Général Leclerc, beau-frère de Napoléon[24]. Ils sont les parents de :


5. Jacques III Leclerc (1555 - après 1602), écuyer, demeurant à Saint-Dizier, achat de terres 25 avril 1574[25], rend foi et hommage au Roy le 23 octobre 1596 pour les fiefs de La Motte de Valcourt et de Prez-sur-Marne[26].

Il se marie le 25 avril 1574 avec Dame Hélène Patot (1560 - 1632)[27], contrat de mariage du 13 juin 1573[28]. Partage des biens de Jacques I entre Jacques II et son frère Pierre par contrat du 4 novembre 1577. Acte de présentation du dit fief De La Motte de Valcourt au dénombrement 8 juillet 1602[29]. Ils sont les parents de :


6. René Leclerc est Seigneur de Prez-sur-Marne, Grenetier au grenier à sel de Joinville, Grenetier au grenier à sel de Chaumont. Prez-sur-Marne est une seigneurie du domaine royal, engagée en 1637 à M. Leclerc (de Saint-Dizier). Les habitants doivent une rente de 13 livres au seigneur[30]. Grâce à René Leclerc, le 16 août 1655, une première messe dite dans la chapelle Saint-Roch, récemment construite au Val-de-Vassy, par lui, grenetier au grenier à sel de Joinville. Il est marié à Anne de Thomassin [31], fille de Jean de Thomassin seigneur de Morteau, secrétaire ordinaire de la chambre du roi, bailly et garde des sceaux de la principauté de Joinville par lettre du duc Charles de Lorraine et de Marguerite de Grand. Anne de Thomassin, veuve de René Leclerc (1575 - après 1655) demeure à Joinville.
6. André Leclerc du Buisson (1575 - après 1627) est écuyer, seigneur du Buisson (Louvemont) en 1617, seigneur de Prez sur Marne[32]. Il est le frère de Jacques IV Leclerc (1575 - 1635), Président au grenier à sel de Saint Dizier. André Le CLerc et Claude de Clerget sont mariés par contrat devant notaire à Saint-Dizier le 4 octobre 1604[33], fille de Denis Maître du Val (1596) ; noble (1597). Ils sont les parents de :

Les Leclerc à Joinville[]

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Blason Françoise Leclerc et Toussaint de Renusson[34].

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Un bailli rendant la justice.

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La ville et le château de Joinville au XVIIe siècle.

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Joinville - maison 14 rue de l'Auditoire appartenant à Anthoine Leclerc (1653 - après 1726) est située dans l'angle supérieur gauche du pâté de maisons.

Maison antoine leclerc.

Maison Anthoine Leclerc (1653 - après 1726).

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Le vieil hôtel de ville est une des anciennes maisons des Vrainville, vendue en 1777.

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Uniforme du régiment de Touraine en 1785.

7. Madeleine Leclerc du Buisson (1609 - 1685) se marie avec François Le Blanc, Lieutenant des Eaux et Forêts au Baillage de Chaumont, Conseiller du Roi, Seigneur du Buisson .
7. Anthoine le jeune Leclerc de Fredeau (1627 - après 1705) est Écuyer, Seigneur de Vrainville, de Fredeau, et du Buisson, Gruyer et garde marteau en la maîtrise des Eaux et Forets de Saint-Dizier, conseiller du Roy, bailly, juge criminel et de police, commis enquêteur et examinateur, garde des sceaux de la principauté de Joinville et maire perpétuel audit lieu. Il se marie le 10 décembre 1646, à Marnesse (Haute-Marne), avec Anne de Thomassin[35], née en 1626, fille de Nicolas, Bailly et Garde des sceaux de la principauté de Joinville. Il est maintenu dans la noblesse par arrêt du Conseil d’état du 21 septembre 1671 en qualité de noble et d’écuyer avec les droits et privilèges y afférents[36]. En 1700, Maître Aubin Collesson, praticien, demeurant à Osne, est nommé notaire au même lieu par Anthoine Leclerc. Antoine Leclerc vend des biens qu'il possède au finage et en la ville de Saint-Dizier. Ils sont les parents de :


8. Françoise Leclerc (1655 - avant 1699), Damoiselle, se marie le 22 janvier 1680, avec Toussaint de Renusson (1648 - 1707), Lieutenant Criminel en la prévoté de Wassy (1673), Maire perpetuel de Wassy (1706), Président Prévot de Wassy (1706), Subdélégué de monseigneur l'intendant de l'élection de Joinville (1706), Conseiller du Roi (1706).
8. Anthoine II Leclerc (1653 - après 1726), écuyer, seigneur du Buisson, de Vrainville, de Fredeaux, et Cerizières[37]. Vrainville est un fief érigé à Villers-la-montagne, le 27 août 1721 [38]. Selon d'autres sources Vrainville est rachetée aux Cardon de Vidampierre par Anthoine Leclerc. C'est un ancien fief des Guise[39]. Il est conseiller du Roy, bailly de Joinville (1680), juge criminel et de police, commis enquêteur et examinateur, garde des sceaux de la principauté de Joinville et maire perpétuel (1705 - après 1709). Sa maison située 14 rue de l’Auditoire à Joinville est une grande maison implantée au cœur de la ville ancienne, juste en face de l’auditoire de justice. Elle a été édifiée au XVIe siècle, puis modifiée et agrandie au XVIIIe siècle. A l’origine elle n'est composée d’un seul corps de logis de plan rectangulaire placé entre la rue de l’Auditoire et la rue Saunoise. Au début du XVIIIe siècle, le bailli et Maire de Joinville, Antoine Le Clerc veut donner à son habitation le confort intérieur d’un grand et bel hôtel particulier. Il fait alors construire une aile nouvelle en retour d’équerre, installe un escalier suspendu avec rampe en fer forgé, et réaménage de nombreuses pièces. L’ensemble du bâtiment est placé sur des caves qui compensent la pente du terrain. Comme officier de justice, le propriétaire n’a d’ailleurs qu’à traverser la rue pour se rendre à son travail. Caterine Vaultier (1649 - 1746) devient son épouse[40], contrat de mariage du 5 mars 1678[41]. Elle est décédée après le 16 septembre 1709. Anthoine Leclerc et Caterine Vaultier ont huit enfants[42], dont :


9. Antoine Leclerc de Fredeau (1681[43] - après 1755), écuyer, Conseiller du Roi, subdélégué de Monseigneur l'Intendant en l'élection de Joinville (cit. 1709), et maire perpétuel de Joinville (cit. 1717). En 1712, le fils d'Antoine Leclerc est nommé maire et bailli de Joinville. Il est ancien bailli de Joinville en 1754. Antoine Leclerc de Fredeau vend au Sieur Pucelier du Puy de Saint-Rémy, gruyer de la principauté de Joinville, la seigneurie de Vranville[44]. Antoine Lecler se marie le 16 septembre 1709, à Joinville, avec Elisabeth de Renusson (1683 - après 1755), veuve de Maître Claude Lay de Granville, vivant conseiller du roi, prévôt de la ville de Wassy et subdélégué de Monseigneur l'Intendant de la dite élection de Joinville (cit. 1709). Antoine Leclerc et Elisabeth de Renusson (1683 - après 1755) sont les parents de :
  • Antoine-Didier Leclerc (1717 - après 1789) est écuyer, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, capitaine au régiment de Touraine Infanterie (cit. 8 janvier 1785). Le 28 février 1777, Antoine-Didier Leclerc vend à l'administration de Joinville, moyennant 11.000 francs, rue Saulnoise, une maison dont on a fait l'Hôtel-de-Ville actuel. Planrupt possède depuis longtemps un château seigneurial qui est longtemps la demeure du cuisinier de l'abbaye du Der, seigneur de Planrupt et de Frampas en partie. Avant la Révolution, cette demeure seigneuriale, qui est environnée de fossés profonds sur lesquels on a jeté un pont-levis, devient la propriété de M. Leclerc de Frédeau, chevalier de l'ordre royal, comme le domaine. Au XVIIIe, Montier-en-Der prend les habitudes d'une ville : le roi y institue, en 1777, un conseil où il nomme deux conseillers : Ed. Berthélemy, prêtre, et M. Leclerc de Frédeau, gentilhomme[45]. . Leclerc réside ordinairement à Montier-en-Der où il est notable de la noblesse en 1789. Leclerc de Frédeau se marie le 26 novembre 1755, à Montier-en-der, avec Marie Edmée Magdeleine de Montangon (1725 - après 1766), fille de Jean Baptiste, Chevalier seigneur de Crépy. Ils ont trois filles.
9. Dame Caterine Leclerc (1687 - 1731), épouse en 1re noce de messire Pierre de Pons, maire perpétuel de Cbaumont par achat d'office en 1693, chevalier, et en son vivant gentilhomme servant chez le roi, trésorier de France en la généralité de Paris et chevalier d'honneur au siège présidial de Chaumont, seigneur de Mussey pour un quart, de Doulaincourt, Saucourt et d'Annonville. Elle épouse en seconde noce de messire Jean-François de Bérouille, sieur de Villandré, chevalier et capitaine de cavalerie au régiment de Lévi. Elle est décédée en son château de Mussey, à l'âge de 36 ans, le 21 août 1731, et inhumée le lendemain au chœur de l'église. Son mari, M. de Villandré, ne lui survit qu'une année. Il meurt en son château de Mussey le 18 septembre 1732, à l'âge d'environ 46 ans, et est inhumé le lendemain au chœur de l'église, près de sa femme, côté droit, et près de l'un de ses enfants
9. Laurent Leclerc, chanoine et diacre de l'église collégiale de Joinville
9. Pierre Leclerc, qui suit :

Ses parents[]

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Blason lamorre

Blason des Lamorre : Claude, prévôt de Stainville, anobli le 22/04/1629. D'azur, à 5 chevrons d'or accompagnés de 3 étoiles du même, 2 et 1[46].

Blason lasaulx

Blason des Lasaulx anoblis en 1611.

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Les Conseillers de la Chambre des comptes de Lorraine.

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Etain en 1641.

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Pierre-Joseph Le Clerc est en 1779 gouverneur en la ville de Longwy.

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Le frère de la femme de son neveu, le marquis de Vrainville, Hyacinthe Chappe de la Henrière (un Cruce Caerulea); chef pour les Préfectures de Metz et Nancy est présent au Congrès maçonnique de Wilhelmsbad, en 1783.

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Pendant la Révolution, son neveu, le marquis de Vrainville, complote avec le baron de Poly.

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Capitaine du 12e Régiment d'Infanterie de ligne, portant son étoile d'Officier de la Légion d'honneur. Marboeuf ?

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Son beau-frère est massacré à Versailles, le 9 septembre 1792, avec une fournée de prisonniers.

9. Pierre Leclerc (1688 - 1764) est chevalier, seigneur de Vrainville, Morfontaine et autres lieux, conseiller maître et auditeur surnuméraire, le 19 septembre 1725 et serment le 13 juin 1726 (B 342 f° 26), révoqué en 1729, ancien maître des Comptes de Bar, et prévôt de Villers-la-Montagne. Il est l'époux, dès avant 1718, de Barbe Charlotte Charlotte de Lamorre (1690 - 1769), fille d'un écuyer, Seigneur de Savonnières, conseiller secrétaire et garde du trésor le 5 janvier 1699 (B 274 f° 21), fils d'un Receveur général du bailliage de Bar, Maître des Comptes de Bar. Les Leclerc, chevaliers, seigneurs de Vrainville, Morfontaine demeurent à Viller la montagne et à Etain[47]. Pierre Leclerc (1688 - 1764) et Barbe Charlotte Charlotte de Lamorre sont les parents de :


10. Antoine Leclerc, seigneur de Berg, qui suit.
10. Le frère d'Antoine Leclerc de Berg, François-Sébastien Leclerc de Vrainville (1720 - 1794), Morfontaine, et Villers-la-Montagne, chevalier, est reçu conseiller et auditeur à la Chambre des comptes, cour des aides, monnaies et domaines de Lorraine à Nancy, le 27 novembre 1762[48]. Il est Maître particulier des eaux et forêts au département d’Étain, conseiller du roi. François-Sébastien Leclerc de Vrainville épouse, paroisse Saint-Gengoulph, le 6 mars 1753, Mademoiselle Catherine Aux Cousteaux de Conty, fille d'un Commissaire Provincial commandant de l'Artillerie à Marsal, en Lorraine. Demeurant à Étain, ils font une procuration à Claude Aux Cousteaux de Conty. Leclerc et Catherine aux Couteaux de Conty, sa femme, obtiennent des lettres patentes portant permission de vendre des biens substitués, sis à Beauvais, le 8 septembre 1769. Le 29 octobre 1774 François-Sébastien Leclerc de Vrainville (1720 - 1794) est Conseiller Maître en la Chambre des Comptes de Lorraine. Il y a une requête de Sébastien Le Clerc, de Vrainville, chevalier, au Parlement de Nancy (7 juin 1779). Leclerc de Vrainville figure dans un procès-verbal de l'Assemblée de l'ordre de la noblesse, le 4 avril 1789[49]. Il existe une lettre Adressée par Messire de Vrainville à Gabriel Chappes, le 6 janvier 1789. Il figure dans le Catalogue des gentilshommes de Lorraine et du duché de Bar qui ont pris part ou envoyé leur procuration aux assemblées de la noblesse pour l'élection des députés aux États généraux de 1789 : publié d'après les procès-verbaux officiels, par MM. Louis de La Roque et Édouard de Barthélemy. De ce fait un décret suspend le paiement de la pension liquidée en faveur du citoyen Leclerc-Vrainville, le 19 juin 1793-28 Ventôse. La Convention nationale, sur le rapport de son comité de liquidation, décrète que le paiement de la pension liquidée en faveur du citoyen François-Sébastien Leclerc—Vrainville, par décret du 19 juin 1793 (vieux style), est suspendu.


11. Pierre-Joseph Le Clerc (1745 - 1835), marquis de Vrainville, seigneur à Villers-la-Montagne et Morfontaine, sous-lieutenant au régiment du Roi cavalerie, puis en 1779 aide de camp de Messire Lieutenant général des armées du Roi et son gouverneur en la ville de Longwy, Eugène de Mézières[50]. Pierre-Joseph Le Clerc de Vrainville a fait les pires sottises : joueur, perdu de dettes, déserteur même, il a failli, plusieurs fois, être cassé. Il se marie le 23 novembre 1779 à Étain avec Hortense Chappes de la Henrière (1746 - 1785), fille d'André Chappes de la Henrière, ancien capitaine des grenadiers royaux, Conseiller du Roi, receveur de ses finances au bureau d’Étain et soeur d'un Licencié en droit, conseiller du Roy, receveur des bois au département d’Étain. La fortune des parents de la mariée est considérable. Ce sont des membres de la grande bourgeoisie très économes et rigoristes. C'est la belle-soeur de la mariée qui a rencontré dans les salons de Nancy, cet assez mauvais sujet. La grosse dot de Mademoiselle Chappes est pour lui le salut[51]. Les titres énumérés avec complaisance flatteent la vanité de ces bourgeois gentilshommes. C'est du reste tout ce qu'elle retire de cette malheureuse alliance. Dés le lendemain du mariage, le jeune de Vrainville reprend son existence aventureuse et il eut vite fait de dilapider la dot de sa femme. On suit les déplacements du ménage aux poursuites de ses créanciers le mobilier est saisi à Verdun et à Étain en 1780, à Metz en 1782, à Beauvais en 1784, à Villers-la-Montagne, l’année suivante. La pauvre Madame de Vrainville abandonnée par son mari vient mourir au milieu des siens, à Étain, le 3 décembre 1785. Quant aux enfants nés du mariage, ils sont recueillis par leur tante Adélaïde Chappes, les grands-parents de Vrainville ayant déclaré s'en désintéresser. Il émigre. Le domaine de Vrainville, confisqué à la Révolution, est vendu comme bien national en 1794[52]. Pendant la Révolution il complote avec le baron de Poly. Comme ancien émigré il touche une pension de 1.100 francs[53]. Pour Villers-la-Montagne et Morfontaine, il n'adroit pour sa part en dépit de ses titres et de ses 72 ans qu'à 18 francs de rente au capital de 584 fr. Pierre-Joseph Le Clerc et Hortense Chappes de la Henrière (1746 - 1785) sont les parents de :


12. Marie-Catherine-Hortense Leclerc de Vrainville (1782 - après 1826) épouse François Marboeuf (1765 - 1828), Chevalier de l'Empire, lieutenant-colonel au 12e d'infanterie de ligne en retraite, officier de la Légion d'honneur. Le 27 novembre 1805, le colonel Vergez et le capitaine Marboeuf s’emparent de 30 hussards ennemis au pont de Neudorf. Plusieurs fois grièvement blessé il perd une jambe à Wagram (1809). Elle récupère en 1826 91.482 livres livres venant des biens spoliés des Chappes pendant la Révolution[54].
12. Angeus Le Clerc (1782 - 1825) est capitaine dans les troupes du génie. Il est employé à La Guadeloupe au service de la direction du génie. Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis en 1821.


10. La soeur d'Antoine Leclerc de Berg, Françoise Geneviève Leclerc de Vrainville, se marie le 19 septembre 1760 avec Pierre Ernest de Lasaulx (1734 - 1793), fils de François Gaspard de Lasaulx (ca 1670 - 1749) et de Catherine de Rürnling (1699 - 1776). Il est garde du corps dans la Compagnie de Villeroy, puis brigadier des gardes du corps du roi. Il touche 900 francs, en 1790, du fait de deux pensions : la première, en considération de ses services d'ancien Brigadier des Gardes du Corps du Roi, la seconde, pour sa retraite. Il est le frère de Philippe et Pierre, gardes eux-aussi, dans la Compagnie de Villeroy[55]. Il est massacré par des révolutionnaires avec d'autres nobles à Versailles, le 9 septembre 1792.

SON MARIAGE[]

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Les Heisgen zu Berg[]

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Blason du Voordt bourgmestre de Liège.

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Blason des Loën.

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Christine de Salm.

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Généalogie des Heisberg zu Berg.

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Vers 1655 Gaspard de Heisgen vend une partie de ses biens à Jean Pierret. Il construit le château Brückenberg et des forges.

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Sibille Aldegonde de Heisgen, veuve de Charles Florentin de Breiderbach, acquiert par actes des 19 juillet et 30 septembre 1686, le château de Birtrange.

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Le château baroque de Berg en 1834 est construit par Gérard de Heisgen (1685 - 1745).

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En 1744, selon Wikiwand, il fait aussi construire l'église de Berg, où il repose.

Les Heisgen sont une famille qui possède aux XVIIe et XVIIIe siècles la seigneurie de Berg (Colmar), anoblie et d’origine hollandaise[56].


En 1597, François II de Lorraine, comte de Vaudémont, de la maison ducale de Lorraine, ayant épousé Christine de Salm, reçoit en dot entre autres deux seigneuries qu'il vend séparément en 1599. Gérard de Horst, sire de Ham, achète Berg Colmar, et dès-lors cette terre a ses seigneurs particuliers.


1. Gaspard de Heisgen (1630 - 1680) qui le 8 mai 1651 acquiert, paraît-il, le château et la seigneurie de Berg des filles du baron Gerard Ernst Von der Horst. Il est seigneur de Bergh, membre de l’État noble de Luxembourg et comté de Chiny[57]. Selon d'autres sources le château et la seigneurie de Berg passe par alliance à la maison de Heisgen en 1650[58]. En 1653 Heisgen vend une partie de ses biens à Jean Pierret, propriétaires de forges à Saint-Ode, qui fait construire un haut fourneau à Colmar-Berg. Gaspard de Heisgen (1630 - 1680) est marié à Agnès de Voordt de la noble et très ancienne maison de Voordt, qui porte d'argent aux trois macles de gueules. La maison de Voordt parait s'être éteinte en la personne de dame Marie Victoire baronne de Voordt, dame de Brusthem, Rijckel et Voordt, dame de l'Ordre de la Croix étoilée, fille de messire Édmond-Conrard, baron de Voordt, seigneur de Cortenacken. bourgmestre de Liège en 1689, membre de l'État noble du pays de Liège... Cette dame épouse en premières noces, Gilles de Tollet, libre baron du Saint-Empire, général-major au service de S. M. I. et gouverneur de Hermanstad, en Transylvanie, et dernier de son nom. Son second mari est Jean-Antoine Turinetti, qu'elle épouse en 1717, à Louvain; marquis de Pacangliery, lieutenant-général d'infanterie, colonel-propriétaire d'un régiment-national au service de S. M. I., et son ambassadeur en Suisse, et fils d'Hercule Turinetti, marquis de Prié, grand d'Espagne, chevalier de l'Ordre de l'Annonciade, conseiller d'État intime, ministre plénipotentiaire de sa dite majesté aux Pays-Bays...[59]. Gaspard de Heisgen et Agnès de Voordt sont les parents de :


2. Marie Agnès de Heisgen épouse à Bergh, par contrat du 4 novembre 1679 Charles Rodolphe Benoit de Loën d'Enschede, seigneur de Roosbeek par relief du 30 août 1697, né à Eppeldorf, Luxembourg, le 1er septembre 1647. Veuf, le 11 avril 1687, il se remarie avec Anne Marie Catherine de Nassau Detzem, d'une branche cadette de l'illustre maison de Nassau.
2. Sibille Aldegonde de Heisgen mariée vers 1675 avec Charles Florentin de Breiderbach, veuf de sa soeur Marguerite Françoise. Elle acquiert, étant veuve, par actes des 19 juillet et 30 septembre 1686, de Ferdinand-Louis baron de Zandt et de Marie-Claude d'Ahr, sa femme, seigneur et dame à Lissingen et à Birtrange, ce dernier château, avec les dépendances, pour 1800 Rth. Les parties les plus anciennes du château de Birtrange datent du XIIIe siècle. Il est reconstruit par Gaspard-Florent de Breiderbach, leur fils Bailli du comté de Vianden.
2. Bernard Albert de Heisgen (1660 - 1696), écuyer, noble seigneur de berg, en partie, de Bettendorff et de La Rochette, est membre de l’État noble de Luxembourg et comté de Chiny[60]. Il se marie en 1681 à Noble Dame Marie Gisberte de Loën (après 1646 - 1741), Dame de la terre de Folkendange et de Roosbeck. Elle est la fille de Jean de Loën de Roosbeke, écuyer, cité le 13 novembre 1681, seigneur de Volkendange, Luxembourg, de Roosbeek et de Nederbutzel, par relief du 14 septembre 1673, capitaine au régiment du colonel Rykelings au service de Sa Majesté Impériale et Royale Apostolique, qui épousa, à Volckendange, par contrat du 24 février 1646, Lucrèce Catherine van Erp, fille unique de Guillaume et de Catherine de Manderscheid, dame de Folkendange. Il existe un cachet de Marie-Gisberte de Loën, dame de Berg. Elle appartient à la branche luxembourgeoise de cette famille d’ancienne noblesse flamande, selon le Dr. Loutsch. En 1693 Heisgen emprunte 200 écus à Marie Gertrude de Malaise. Le moulin de Mühlen est affecté en garantie. Marie Gisberte de Loën se remarie avec Oger de Mellart, seigneur de Corbion. Bernard Albert de Heisgen et Marie Gisberte de Loën ont les parents de :


3. Gérard de Heisgen (1685 - 1745) est seigneur de Berg et Colmar du chef de son père et de la terre de Folkendange qu'il tient de sa mère. Suivant un pied-terrier fait en 1730 et les années suivantes par le notaire A. Laplume de Colmar, à la demande de Gérard de Heisgen, seigneur de Bergh et Folkendange, pour constater les droits appartenant au château de Bergh sur les bans de Berg, Colmar, Welstorff et Lellingen, il y a à cette époque cinq maisons bâties près du moulin de Geismuhl. Ces maisons ont été construites, paraît-il, par des ouvriers des forges voisines de Colmar. En 1733 le notaire A. Laplume de Colmar constate que François Wolfgang de Tesch a vendu son bien de Ameldingen à Gérard de Heisgen Marie-Anne baronne de Morreau (1695 - 1733), pour 1.300 écus. Au décès, le 2 décembre 1741, de la mère du dit de Heisgen, des difficultés se sont élevées au sujet de l’usufruit avec Oger de Melart, auquel ce dernier a des prétentions. Le fils et son beau-père font à ce sujet une transaction, à l'intervention de messire Hugo François Wolfgang, baron de Metternich, seigneur de Bourscheid, maréchal héréditaire des États du pays de Luxembourg, de Jean-Henri, baron de Ziwel, seigneur de Bettemhourg, capitaine et prévôt à Luxembourg, et de messire Charles-Antoine, baron Duprel, seigneur d'Erpeldange. Heisberg se fait ériger vers 1740 un nouveau château dit baroque. En 1744, selon Wikiwand, il fait construire l'église de Berg. Gérard de Heisgen est décédé le 29 juin 1745, veuf de Marie-Anne baronne de Morreau (1695 - 1733), décédée le 14 juin 1733. Sa sépulture se trouve dans l'église de Berg.


On a aussi Frédéric-Henri de Heisgen à Hamm, amodiateur de seigneuries, en 1753. Il est dit de vieille noblesse contrairement aux Blochhausen qui sont d'origines inconnues. On a aussi parmi les amodiateurs François-Henri de Heisgen seigneur d'Oberweiler[61]. Frédéric-Henri de Heisgen, en 1760, comme Seigneur d'Oberweiler et beau-frère des époux de Hagen, doit être fils de Frédéric André de Heisgen, sgr. d'Oberweiler

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Folkendange, autre terre des Heisgen, dot de la femme de son cousin germain et beau-frère.

Son épouse[]

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Blason heisgen

Armes des Heisgen : D’argent à cinq trèfles de sinople posés en sautoir.

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Blason des Thierry de Saint Baussant : D'azur au chevron d'argent, accompagné en chef de deux étoiles d'or, et d'une tête (mufle) de léopard du même en pointe.

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Colmar-Berg sur une carte.

3. Gérard de Heisgen décédé le 29 juin 1745, époux de Marie-Anne baronne de Morreau, décédée 14 juin 1733. Ils n’ont eu que deux filles :


4. Marie-Claire-Gisberte, née en 1719, mariée au capitaine français Antoine Leclerc de Vrainville, et qui lui apporte en dot la seigneurie de Berg.
4. Marie-Gisberte-Jeanne, née en 1722, mariée en 1751 à un autre capitaine français, le baron Jean-Baptiste II Thierry de Saint Baussant, hérite de la seigneurie de Folkendange. La famille de Saint-Baussant, d'ancienne chevalerie est du bailliage de Saint-Mihiel. Ses armes sont quelque peu différentes selon les armoriaux. Jean-Baptiste II est fils du baron Jean-Baptiste Thierry de Saint Baussant, Conseiller au Baillage de Saint-Mihiel, et la soeur de Barbe Charlotte Charlotte de Lamorre (1690 - 1769), mère d'Antoine Leclerc de Vrainville. Les deux beaux-frères sont donc cousins germains. Après la mort de son épouse, le baron de Saint Baussant vend le 12 décembre 1777 la seigneurie de Folkendange aux frères Louis-Albert et Charles-Emmanuel de Monflin, seigneurs de Hondelingen.


Antoine Leclerc de Berg (1718 après 1793) est seigneur de Vrainville et Frédeau, Everlange (1752), et du fait de sa femme de la Seigneurie de Bergh, avec les villages de Colmart, Welsdorf, Cruchten sur l'Alzette, les censes de Lellingen, Beringen, Schleyden et Zelen. Il est aussi Conseiller du Roi, bailli et juge, ancien capitaine, baron. C'est un membre de la Famille Le Clerc, de la branche de Vrainville.

En 1745, Antoine Leclerc de Vrainville, seigneur de Berg, continue le procès entamé en 1741 à cause du village de Gilsdorf avec le seigneur de Geisen. En 1748, le 30 janvier, le sieur de Vrainville atteste que les seigneurs de Folkending et leurs successeurs les seigneurs de Heisgen, ses ancêtres, ont toujours touché la dîme de Gilsdorf, qu’ils touchaient aussi toutes les pénitences, et lorsque les paysans ne les payaient pas, c’est qu’ils les avaient consommées en buvettes, et non parce qu’ils ne les devaient pas. Il cherche donc à prouver que la souveraineté des seigneurs de Folkending ne se limitait pas à l’exercice de la basse justice, mais qu’ils exerçaient aussi des actes de haute justice, et qu’il avait à Gilsdorf son tribunal, composé d’un écoutète et de six échevins, qui avaient prêté serment devant lui, et qui récoltaient la dîme, les droits de pêche et de chasse et autres droits seigneuriaux. Suivent des argumentations sur ces droits (gibet, etc…) contre le seigneur de Geisen[62]. René Louis de Geisen (1684 - 1771) est Seigneur de Diekirch, de Reckingen et de Hassel, conseiller au Conseil provincial.

En 1746 Leclerc de Vrainville fait un procès à Jean Mathias de Blochausen à cause des droits de chasse sur la commune de Scheid, ceci bien que Vrainville n'est possesseur d'aucun droit de justice sur ce lieu. Jean Mathias de Blochausen est eigneur de Brandenbourg en partie en 1761. C'est le beau-frère de

15 janvier 1752 : Anne-Madelaine de la Gardelle, épouse de Guillaume de Karpffen, dame en partie de Falkenstein, fait donation à Antoine de Vrainville, Seigneur de Berg, d'une partie de la Seigneurie d’Everlange, obtenue de la succession de François-Sébastien de Baur, son cousin. Réalisée au Siège des nobles le 11 juillet 1752[63].

En 1753, par acte du 22 mars, Jean-Philippe Godart reconnaît devoir une dette de 60 Reichsthaler à Jean-Baptiste Thierry baron de Saint Baussant et à sa femme Marie Gisberte de Heisgen, seigneurs de Folkendingen. Ils hypothèquent leur maison et leur jardin avec l’accord de Vrainville, seigneur de Berg[64].

En 1758, reconnaissance de dette de Jean Wiltz, meunier de la Geismühle, envers Marie Gisberte de Saint Baussant, née de Heisgen, demeurant au château de Berg, d’un montant de 80 Reichsthaler, transformée en une rente de 8 florins annuels, avec accord de Vrainville, seigneur de Berg.

D’après Spedener, Phüippe Conrad de Breiderbach est décédé, à Vianden, le 25 janvier 1768. De son côté, l’abbé Linden parle d’un acte du 2 mai de la même année dans lequel il est dit que Philippe Conrad, fils de Gaspard Florent, est mort sans postérité. Mais alors qu’en est-il du document daté du 12 juin 1779 sur lequel Philippe Conrad de Breiderbach, seigneur de Birtrange et grand-bailli de Vianden, signe; comme témoin, l’acte de vente par lequel les époux de Vrainville-de Heisgen cèdent la seigneurie de Berg à Marie Gisberte de Blochausen ?

BERG COLMAR[]

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Le château avant Antoine Leclerc de Vrainville[]

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Le blason actuel de Berg reprend les différents symboles des familles nobles possédantes : D'argent à l'aigle de sable accompagnée en chef, aux flancs et en pointe de cinq trèfles de sinople posés 2-2-1; au chef d'azur chargé d'une couronne grand-ducale d'or.

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Cruchte[n] auf der Alset (de nos jours : Cruchten, Luxembourg), par Jean Bertels, vers 1597.

Les présentes armoiries communales reprennent cette aigle au champ d'argent pour rappeler les premiers seigneurs et l'entourent de cinq trèfles de sinople qui proviennent des armes de Heisgen, dont une sculpture se trouve au portail de l'église paroissiale de Berg.

A l'origine de la ville de Colmar-Berg des outils de pierre à la Mousterienzeit (40.000 BC) prouvent que la région est habitée. Les Celtes ont habité le lieu. Le nom Colmar est d'origine celtique. Des vestiges d'une villa romaine du IIIe siècle sont retrouvés dans les environs de Colmar Berg. Pour la première fois Bergh, en 800, est mentionnée et cela dans le registre de D. Irminae Willam, Cujus Vacabulu is montis.

Le premier seigneur mentionné déjà le 14 mai 1311 est le chevalier Warnier de Bergh, dont la descendance s'allie avec la famille des Cronenbourg et qui porte : d'argent à l'aigle de gueules. Il résulte des études faites sur l'Histoire de Berg, reprises et complétées par le Dr. Jos. Flies en son ouvrage Ettelbruck, qu'à Berg se trouve un château-fort dès le début du XIVe siècle. Les premières armes connues pour la famille de Berg-sur-Attert datent de 1325 et 1401 et montrent toujours l'aigle éployée mais de sable (Cronenbourg-Berg et Berg-sur-Attert).

Au Moyen Age, en raison des guerres et la peste, il y a peu de résidents à Colmar, Berg et Welsdorf, 17 familles en 1540 et seulement 5 en 1641. Les résidents, sauf les nobles, les serfs achètent leurs terres à la noblesse.

En 1655 Jean Piret construit le château et le forgeron Brückenberg à Colmar. Certains auteurs mentionnent un autre château qui aurait dû être sur le Mühleberg. Les fouilles ont cependant montré que cela a plus à faire un château d'échappement dont l'origine est incertaine. A partir du XVIIe siècle, en raison de l'avènement de la forge, la population augmente.

La villa romaine du IIIe siècle est peut être à l'origine du château construit par Gérard de Heisgen (1685 - 1745) autour de 1740.

Antoine Leclerc, seigneur de Berg[]

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Le château de Berg en 1835.

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L'Alzette à Berg-Colmar.

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Lellingen.

Je Antoine Leclerc de Vrainville à titre de mari de dame Marie Claire, née de Heisgen, mon épouse, Seigneur et dame de Berg, terre Située entre la terre de Larochette a l'orient, celle de Pittange au midi, celle d’Iseldange au couchant, et celle de Bourscheidt au Septentrion, et enclavée dans la presvóté de Diekirch, reconnais et déclare tenir en fief mourant immédiatement de Sa majesté la Reine de Hongrie et de Bohème ma Souveraine, la dite terre de Bergh avec Ses dépendances pour laquelle j'ai presté mes ſoys et hommages pendant le mois de janvier dernier entre les mains de messire François-Christian de Gerden, président au conseil provincial de Luxembourg.
Le château et Seigneurie de Bergh que je possède ſondé sur des bons titres avec les villages de Colmart, Welsdorf, Cruchten sur l'Alzette, les censes de Lellingen, Beringen, Schleyden et Zelen en dépendants; tous les habitans y Sont de servile condition, mais cinq ou Six de Cruchten et Schleyden payent le rachapt a d'autres Seigneurs.


J’ay Sur les dits habitans la haute justice que je tiens par un contrat de vente et de retrocession faite à M. de Heisgen par M. le baron du Prel Seigneur d’Erpeldange, qui la tenait gagèrement du Souverain et de touts temps j'ai dans la dite Seigneurie par bons titres la moyenne et basse jurisdiction, pouvoir de créer majeur et echevins, première audience, ſorſaitures et amandes. J'ai cep et prison, droit de permettre les danses la

ſéte de la dédication de la chapelle. droit de tenir troupeau à part, ma part dans les bois communaux comme un habitant du lieu (à Berg Seulement), n'ayant rien dans les bois des autres en n droits, excepté le dixième denier que je tire dans toute la Seigneurie, bien entendu dans les bois appartenants aux paysans, n'ayant ni amandes ni trouves de mouches dans ceux qui peuvent y appartenir à des Seigneurs particuliers, tel que M. le baron du Prel à Bergh et M. le baron de Cassal proche Cruchten sur l'Alzette.

J'ay ma résidence au chateau de Bergh, où il y a basse cour, deux jardins, un verger et

trois enclos Sans et avec arbres. Les enclos Sont en prairies et Se nomment Backeswies, Jungſerwies et Cleewies, le tout ensemble pouvant contenir aux environs de 9 journaux plus ou moins...


Publications de la Société pour la Recherche et la Conservation des Monuments Historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, Volume 4, 1849.


Antoine Leclerc de Vrainville constitue l'avocat Eyden son fondé de pouvoir pour relever en son nom ses fiefs du duché de Luxembourg Période de création: 27.01.1759

Ordonnance à Antoine Leclerc de Vrainville de présenter son dénombrement de fiefs Période de création: 19.10.1758 Lieu: Luxembourg

écuyer, seigneur de Vrainville et de Fredeau, conseiller du Roy, bailly, juge

Antoine Leclerc de Vrainville, à titre de son épouse Marie-Claire de Heisgen, déclare tenir en fief du duché de Luxembourg la seigneurie de Berg.

Le château après Antoine Leclerc de Vrainville[]

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Le château de Berg en 1870.

A l’époque du seigneur Jean-Gérard de Heisgen, la seigneurie se trouve en situation florissante, mais sous son successeur, le sire de Vrainville, qui s’adonne à la débauche et aux dépenses inconsidérées, et qui s’endette de plus en plus pour assouvir ses désirs et ses passions, elle dépérit. Éduque dans l’école de Voltaire, dominé par l’irréligiosité et l’immoralité, il s’est attiré par sa vie dissolue la réprobation de toute la région environnante. Plusieurs de ses actes réprouvables se sont maintenus dans la tradition orale des habitants de Berg.

Par cette mauvaise gestion, l’accumulation des dettes, le sire de Vrainville est obligé en 1764, de vendre la seigneurie, avec l’accord de son épouse. Ses dettes publiques s’élevent à 9.750 Reichsthaler, et 6.720 florins du Brabant, sans compter les dettes privées. Une grande part de ces dettes ont pour créancière la demoiselle de Blochausen, des usines sidérurgiques de Berg.

Le 29 mai 1764, Vrainville fait établir un inventaire de ses meubles, lettres de créance, bétails et biens se trouvant au château de Berg. L’ensemble est estimé à 4.999 thaler. Par acte du 1er juin 1764, le sire de Vrainville et son épouse Marie-Claire de Heisgen finissent par vendre toute la seigneurie de Berg avec toutes ses dépendances, avec les villages, cours et moulins de Berg, Collmar, Welsdorf, Lellingen, Geismühle, Cruchten, Sehlen, Besten, Schleiden, avec les vassaux, rentes, dîmes, droits seigneuriaux et de justice, à l’exception d’une rente annuelle de 8 florins rhénans pour le couvent des trinitariens de Vianden, pour 21.000 Reichsthaler à Mademoiselle Marie-Gisberte de Blochausen (fille de Jean-Baptiste de Blochausen et Suzanne Lambertine Piret, petite-fille d’Antoine Piret).

Le mobilier du château est également inclus dans la vente, il est estimé à 4.428 florins, ce qui amène la somme de la transaction à 25.428 thalers.

L'actuel château de Berg n'a rien d'historique. Il est construit entre 1907 et 1911 sur les restes d'au moins cinq châteaux précédents.

Notes et références de l'article[]

  1. D'Hozier, Champagne? page 286 et 49. 1697.
  2. Archives parlementaires: de 1787 à 1860 : recueil complet des débats législatifs et politiques des Chambres Françaises, Volume 4, Centre National de la Recherche Scientifique, 1868.
  3. Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de Bar-le-Duc, "puis" et du Musée de géographie, 1898 (SER3, T7), p.96.
  4. Revue historiques des Ardennes, Volume 3, Edmond Sénemaud, Éditeur F. Devin., 1865. p.144.
  5. Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France, ou, Recueil de preuves, mémoires et notices généalogiques, servant à constater l'origine, la filiation, les alliances et les illustrations religieuses, civiles et militaires de diverses maisons et familles nobles du royaume, Louis Lainé 1839.
  6. Le Pays lorrain - Page 7, Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain - 1977.
  7. Histoire de Nancy, Christian Pfister, Berger-Levrault, 1902.
  8. Carré de Busseroles Le Calendrier de la Noblesse de Touraine (1868). p.272 et suivantes, et Nobiliaire de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier, Félix Collin de Paradis, Henri Lepage, Léon Germain de Maidy, Paul Lallemand, Éditions du Palais Royal, 1974
  9. Archives départementales de Meurthe-et-Moselle
  10. Archives départementales de Meurthe-et-Moselle
  11. Archives départementales de Meurthe-et-Moselle
  12. Archives départementales de Meurthe-et-Moselle
  13. Archives départementales de Meurthe-et-Moselle
  14. Un épisode métallurgique de la guerre franco-lorraine au XVe siècle. Le procès de Roches-sur-Marne, Michel Philippesem, Études rurales, Année 1992, Volume 125, Numéro 1, pp. 57-67
  15. Un épisode métallurgique de la guerre franco-lorraine au XVe siècle. Le procès de Roches-sur-Marne, Michel Philippesem, Études rurales, Année 1992, Volume 125, Numéro 1, pp. 57-67
  16. Un épisode métallurgique de la guerre franco-lorraine au XVe siècle. Le procès de Roches-sur-Marne, Michel Philippesem, Études rurales, Année 1992, Volume 125, Numéro 1, pp. 57-67
  17. Un épisode métallurgique de la guerre franco-lorraine au XVe siècle. Le procès de Roches-sur-Marne, Michel Philippesem, Études rurales, Année 1992, Volume 125, Numéro 1, pp. 57-67
  18. Archives départementales de Meurthe-et-Moselle
  19. Mont-Saint-Vincent
  20. Généalogie de la maison de Leclerc en Champagne, Seigneur de Courlaine, du Buisson, de Vrainville et de Frédeaux Établie en Octobre 1698, Thierry Vialaneix.
  21. Armorial historique et monumental de la Haute-Marne, XIIIe-XIXe siècle, Philippe Palasi, Éditeur Le Pythagore, 2004.
  22. Revue historiques des Ardennes, Volume 3, Edmond Sénemaud, Éditeur F. Devin., 1865. p.144.
  23. Revue historiques des Ardennes, Volume 3, Edmond Sénemaud, Éditeur F. Devin., 1865. p.144.
  24. Mont-Saint-Vincent
  25. Généalogie de la maison de Leclerc en Champagne, Seigneur de Courlaine, du Buisson, de Vrainville et de Frédeaux Établie en Octobre 1698, Thierry Vialaneix.
  26. Armorial historique et monumental de la Haute-Marne, XIIIe-XIXe siècle, Philippe Palasi, Éditeur Le Pythagore, 2004.
  27. Revue historiques des Ardennes, Volume 3, Edmond Sénemaud, Éditeur F. Devin., 1865. p.144.
  28. Généalogie de la maison de Leclerc en Champagne, Seigneur de Courlaine, du Buisson, de Vrainville et de Frédeaux Établie en Octobre 1698, Thierry Vialaneix.
  29. Généalogie de la maison de Leclerc en Champagne, Seigneur de Courlaine, du Buisson, de Vrainville et de Frédeaux Établie en Octobre 1698, Thierry Vialaneix.
  30. Diocèse ancien de Châlons-sur-Marne, histoire et monuments: suivi des cartulaires inédits de la commanderie de la Neuville-au-Temple, des abbayes de Toussaints, de Monstiers et du prieuré de Vinetz. With pièces justificatives, Volume 2, Édouard de Barthélemy, 1861.
  31. Revue historiques des Ardennes, Volume 3, Edmond Sénemaud, Éditeur F. Devin., 1865. p.144.
  32. Généalogie de la maison de Leclerc en Champagne, Seigneur de Courlaine, du Buisson, de Vrainville et de Frédeaux Établie en Octobre 1698, Thierry Vialaneix.
  33. Revue historiques des Ardennes, Volume 3, Edmond Sénemaud, Éditeur F. Devin., 1865. p.144.
  34. d'Hozier, Champagne page 396. 1697.
  35. Revue historiques des Ardennes, Volume 3, Edmond Sénemaud, Éditeur F. Devin., 1865. p.144.
  36. Généalogie de la maison de Leclerc en Champagne, Seigneur de Courlaine, du Buisson, de Vrainville et de Frédeaux Établie en Octobre 1698, Thierry Vialaneix.
  37. Généalogie de la maison de Leclerc en Champagne, Seigneur de Courlaine, du Buisson, de Vrainville et de Frédeaux Établie en Octobre 1698, Thierry Vialaneix.
  38. Description de la Lorraine et du Barrois. Durival l'aîné, Volume 3, 1779.
  39. Armorial historique et monumental de la Haute-Marne, XIIIe-XIXe siècle, Philippe Palasi, Éditeur Le Pythagore, 2004.
  40. Revue historiques des Ardennes, Volume 3, Edmond Sénemaud, Éditeur F. Devin., 1865. p.144.
  41. Généalogie de la maison de Leclerc en Champagne, Seigneur de Courlaine, du Buisson, de Vrainville et de Frédeaux Établie en Octobre 1698, Thierry Vialaneix.
  42. Généalogie de la maison de Leclerc en Champagne, Seigneur de Courlaine, du Buisson, de Vrainville et de Frédeaux Établie en Octobre 1698, Thierry Vialaneix.
  43. Généalogie de la maison de Leclerc en Champagne, Seigneur de Courlaine, du Buisson, de Vrainville et de Frédeaux Etablie en Octobre 1698, Thierry Vialaneix.
  44. Armorial historique et monumental de la Haute-Marne, XIIIe-XIXe siècle, Philippe Palasi, Éditeur Le Pythagore, 2004.
  45. Diocèse ancien de Châlons-sur-Marne, histoire et monuments: suivi des cartulaires inédits de la commanderie de la Neuville-au-Temple, des abbayes de Toussaints, de Monstiers et du prieuré de Vinetz. With "pièces justificatives., Volume 2, Édouard de Barthélemy, 1861.
  46. ARMORIAL DOM PELLETIER
  47. Manuel de la Meuse histoire de Montmedy et des localités meusiennes de l'ancien comté de Chiny, Jean François Louis Jeantin, Impr. Vve Raybois, 1861.
  48. CATALOGUE DES GENTILSHOMMES DE LORRAINE ET DU DUCHE DE BAR.
  49. CATALOGUE DES GENTILSHOMMES DE LORRAINE ET DU DUCHE DE BAR.
  50. Le Pays lorrain : revue régionale bi-mensuelle illustrée / dir. Charles Sadoul, Société d'archéologie lorraine. Musée lorrain (Nancy). Berger-Levrault (Nancy) : 1912.
  51. Le Pays lorrain : revue régionale bi-mensuelle illustrée / dir. Charles Sadoul, Société d'archéologie lorraine. Musée lorrain (Nancy). Berger-Levrault (Nancy) : 1912.
  52. Mémoires de l'Académie nationale de Metz, Volume 10; Volume 110 p.198, Académie nationale de Metz - 1929.
  53. Liste générale des pensionnaires de l'ancienne liste civile, avec l'indication sommaire des motifs de la concession de la pension, Impr. royale, 1833.
  54. Le Pays lorrain : revue régionale bi-mensuelle illustrée / dir. Charles Sadoul, Société d'archéologie lorraine. Musée lorrain (Nancy). Berger-Levrault (Nancy) : 1913.
  55. Les gardes du corps de Louis XVI, Gilbert Bodinier, Mémoire & Documents janvier 2005.
  56. Sources du Dr. Loutsch: R.A./J./N./R./Arch. Lux. Sect. Hist. Familles: Breiderbach Gourdet). S.A.R. II, P. 57.
  57. POPLIMONT : La Belgique héraldique, t. VI, Paris 1866, p.388.
  58. gen HORST / HEISGEN Famille L FLIES Joseph Ettelbrück, die Geschichte einer Landschaft Saint-Paul, Luxembourg Saint-Paul, Luxembourg 1970 Arbre généalogique p. 564.
  59. Collection de tombes, épitaphes et blasons, recueillis dans les églises et couvents de la Hesbaye: auxquels on a joint des notes généalogiques sur plusieurs anciennes familles qui ont habité ou habitent encore ce pays, Léon De Herckenrode, Éditeur F. et E. Gyselynck, 1845.
  60. POPLIMONT : La Belgique héraldique, t. VI, Paris 1866, p.388.
  61. La noblesse luxembourgeoise au XVIIIe siècle, Volume 100 de Publications de la Section historique de l'Institut grand-ducal de Luxembourg, Calixte Hudemann-Simon, Publications de la Sorbonne, 1985.
  62. Publications de la Société pour la Recherche et la Conservation des Monuments Historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, Volume 4, 1849.
  63. Publications de la Société pour la Recherche et la Conservation des Monuments Historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, Volume 4, 1849.
  64. Publications de la Société pour la Recherche et la Conservation des Monuments Historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, Volume 4, 1849.
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